Christophe Béchu
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Christophe Béchu | |
Christophe Béchu en 2020. |
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Fonctions | |
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Président de l'Agence de financement des infrastructures de transport de France | |
En fonction depuis le 23 avril 2018 (2 ans, 11 mois et 16 jours) |
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Élection | 23 avril 2018 |
Prédécesseur | Philippe Duron |
Maire d'Angers | |
En fonction depuis le 4 avril 2014 (7 ans et 4 jours) |
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Élection | 4 avril 2014 |
Réélection | 25 mai 2020 |
Prédécesseur | Frédéric Béatse |
Président d'Angers Loire Métropole | |
En fonction depuis le 25 avril 2014 (6 ans, 11 mois et 14 jours) |
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Élection | 25 avril 2014 |
Prédécesseur | Jean-Claude Antonini |
Sénateur | |
1er octobre 2011 – 1er octobre 2017 (6 ans) |
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Élection | 25 septembre 2011 |
Circonscription | Maine-et-Loire |
Groupe politique | UMP puis LR |
Conseiller régional des Pays de la Loire | |
26 mars 2010 – 17 octobre 2011 (1 an, 6 mois et 21 jours) |
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Élection | 21 mars 2010 |
Successeur | Jeanne Robinson-Behre |
Député européen | |
14 juillet 2009 – 1er janvier 2011 (1 an, 5 mois et 18 jours) |
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Élection | 7 juin 2009 |
Législature | 7e |
Successeur | Agnès Le Brun |
Président du conseil général de Maine-et-Loire | |
1er avril 2004 – 28 avril 2014 (10 ans et 27 jours) |
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Prédécesseur | André Lardeux |
Successeur | Christian Gillet |
Conseiller général de Maine-et-Loire | |
21 mars 2001 – 28 avril 2014 (13 ans, 1 mois et 7 jours) |
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Circonscription | Canton d'Angers-Nord-Ouest |
Prédécesseur | Marc Laffineur |
Successeur | Michelle Moreau |
Biographie | |
Date de naissance | 11 juin 1974 (46 ans) |
Lieu de naissance | Angers (Maine-et-Loire) |
Nationalité | Française |
Parti politique | UMP (jusqu'en 2015) LR (2015-2017) |
Diplômé de | IEP de Paris |
Christophe Béchu, né le 11 juin 1974 à Angers (Maine-et-Loire), est un homme politique français. Ancien président du conseil général de Maine-et-Loire (2004-2014), il est sénateur de 2011 à 2017, ainsi que maire d'Angers et président d'Angers Loire Métropole depuis 2014. Il est membre de l'UMP puis des Républicains, qu'il quitte en 2017.
Sommaire
- 1 Biographie
- 1.1 Études et famille
- 1.2 Carrière professionnelle
- 1.3 Carrière politique
- 1.3.1 Premiers pas auprès de Marc Laffineur
- 1.3.2 Président du conseil général de Maine-et-Loire (2004-2014)
- 1.3.3 Candidature à la mairie d'Angers en 2008
- 1.3.4 Élections européennes de 2009
- 1.3.5 Élections régionales de 2010
- 1.3.6 Sénateur (2011-2017)
- 1.3.7 Mairie d'Angers (depuis 2014)
- 1.3.8 Président de l’ODAS (depuis 2015)
- 1.3.9 Président de l’AFITF (depuis 2018)
- 1.3.10 Président de La République des Maires (depuis 2019)
- 1.3.11 Municipales 2020 à Angers
- 2 Détails des mandats
- 2.1 Mandats parlementaires
- 2.2 Mandats locaux
- 3 Décoration
- 4 Notes et références
- 5 Voir aussi
- 5.1 Articles connexes
- 5.2 Liens externes
Biographie
Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 1996, Christophe Béchu est lauréat de l'examen d'entrée à l'école d'avocat de Poitiers (École du Centre Ouest des Avocats) en novembre 2003, après un DEA de droit public (1997-1998) et un DESS de droit des interventions sanitaires et sociales des collectivités locales (2002-2003)1.
Christophe Béchu est marié et père de trois enfants1.
À partir de 1998, il est chargé de cours en Finances publiques au Centre national de la fonction publique territoriale1.
Entre 2000 et 2002, il dirige une entreprise de conseil en télécommunications, CrafTelecom1. Il préside depuis 2004 la SODEMEL (Société d'équipement du département de Maine-et-Loire), une Société d'économie mixte chargée de l'aménagement des quartiers d'habitations et des parcs d'activités économiques ainsi que de la maîtrise d'ouvrage déléguée d'équipements publics sur le département de Maine-et-Loire2.
De 20011 à 2009, il préside le Service départemental d'incendie et de secours de Maine-et-Loire (SDIS 49).
De 2005 à 2009[réf. souhaitée]3, Christophe Béchu préside l'association du Festival d'Anjou, du décès de son prédécesseur, l'ancien président du Conseil général de Maine-et-Loire Jean Sauvage, à la dissolution de l'association4. À partir d'octobre 20095, il préside l'EPCC Anjou Théâtre6, maintenant chargé de l'organisation du Festival d'Anjou.
À partir de décembre 2006[réf. souhaitée], succédant à François Scellier[réf. souhaitée], Christophe Béchu est président de l'Association de collectivités locales « Réseau Idéal »7, consacrée à la gestion des connaissances des collectivités locales. Il est remplacé par Jean-Louis Destans.[réf. souhaitée]
D'octobre 20068 à novembre 20099, il est président du Conseil d'administration du groupement d'intérêt public « Enfance en danger » (GIPED)10 qui gère notamment le Service national d'accueil téléphonique pour l'enfance maltraitée (119 - Allô Enfance en danger), numéro gratuit ayant pour but de faciliter le dépistage des situations de maltraitance à enfant.
En novembre 2007, Christophe Béchu succède à Loïc Le Masne de Chermont au conseil d’administration de Dexia Crédit Local11. Il démissionne de cette fonction en janvier 200912.
Il figurait sur la liste des participants au Groupe Bilderberg en 201213.
Élu en 1995 à l'âge de 21 ans14 comme conseiller municipal de la commune d'Avrillé dans la périphérie nord-ouest d'Angers, Christophe Béchu assure la fonction d'adjoint au maire1, chargé de la communication de 1998 à 2001. Parallèlement de 1998 à 2000, il est collaborateur parlementaire du député de la septième circonscription de Maine-et-Loire Marc Laffineur, par ailleurs maire de la commune d'Avrillé (Démocratie libérale)1.
Réélu en 2001 sur la liste de Marc Laffineur, il devient adjoint au maire, chargé de l'urbanisme, fonction qu'il occupe jusqu'en 200815. Parallèlement, il est élu conseiller général du canton d'Angers-Nord-Ouest.
Christophe Béchu est élu président du Conseil général de Maine-et-Loire le 1er avril 2004, succédant ainsi à André Lardeux dont il a reçu le soutien14. Âgé de 29 ans16, il est à l'époque le plus jeune président de conseil général de France17. Après les élections cantonales, il est reconduit dans ses fonctions le 20 mars 2008, puis en 201115,18.
En avril 2016, un rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) fait état de la mauvaise gestion du département19 sous la présidence Béchu 20.
À l'automne 2007, il annonce sa candidature à la mairie d'Angers lors des élections municipales de 200821 en signant un accord de partenariat avec le Mouvement démocrate22.
Il se démarque de Jean-Claude Antonini, le maire socialiste sortant, en proposant un autre tracé pour le futur tramway d'Angers et la construction d'un stade de foot en périphérie d'Angers23. En janvier 2008, il annonce qu'il refuse le soutien du président de la République française Nicolas Sarkozy en ne participant pas au congrès national de l'UMP pour le lancement de la campagne pour les élections municipales24 et annonce que parmi ses dix-sept adjoints en cas d'élection, seuls trois seront membres de l'UMP23. Le 29 février 2008, il reçoit le soutien de Jean Monnier, maire d'Angers de 1977 à 199825.
Arrivé en tête à l'issue du premier tour le 9 mars 2008, Christophe Béchu est battu de justesse, le 16 mars 2008, par le maire socialiste sortant Jean-Claude Antonini (49,39 % contre 50,61 %)26, dans un contexte national qualifié, notamment par Jean-Claude Antonini lui-même, de défavorable à la droite27.
Élu député européen en juin 2009, il démissionne, en raison des limites au cumul des mandats, du conseil municipal de la ville d'Angers après quinze mois de mandat28.
Une polémique naît en mars 2014 à propos de l'agence de communication de la femme du candidat Béchu29. Elle aurait assuré plusieurs campagnes politiques, pour un montant de 160 000 euros. Le couple nie tout enrichissement personnel30.
En février 2009, Christophe Béchu est désigné par l'Union pour un mouvement populaire tête de liste dans la circonscription Ouest en vue des élections européennes31. Le 7 juin, la liste « Majorité présidentielle » qu'il conduit arrive nettement en tête du scrutin : il est donc élu député européen, avec deux autres de ses colistiers, pour un mandat de cinq ans32.
Dans le cadre des élections régionales françaises de 2010, Christophe Béchu est candidat comme tête de liste UMP dans les Pays de la Loire33. Au second tour, il est battu par la liste conduite par le président socialiste sortant Jacques Auxiette avec 43,61 % des voix contre 56,39 %34.
Élu conseiller régional, il est contraint par la limitation du cumul des mandats, de démissionner soit de son mandat de député européen, soit de celui de conseiller général35,36. La liste qu'il conduit ayant déposé un recours en annulation du scrutin auprès du Conseil d'État37, Christophe Béchu conserve temporairement ses trois mandats38 puis abandonne son mandat de député européen au profit d'Agnès Le Brun, maire de Morlaix39 en janvier 2011.
En septembre 2011, il est élu sénateur de Maine-et-Loire40. De nouveau touché par la limitation du cumul des mandats, il démissionne alors de son mandat de conseiller régional, qui échoit à Jeanne Robinson-Behré, adjointe au maire d'Avrillé41.
En 2017, il ne se présente pas aux élections sénatoriales en Maine-et-Loire42,43.
Le 6 septembre 2013, Christophe Béchu annonce sa candidature aux élections municipales de 2014 à Angers44. Sa liste arrive en tête avec 54,36 % des voix au second tour, face à celle de Frédéric Béatse. Lors du conseil municipal du vendredi 4 avril 2014, Christophe Béchu est officiellement élu maire d'Angers pour une période de 6 ans45.
Il soutient Alain Juppé, candidat à la primaire présidentielle Les Républicains de 201646.
Un rapport de la Cour des comptes, publié en 201647, tire la sonnette d'alarme quant aux choix de développement du parc végétal Terra Botanica d'Angers. La Cour recommande notamment à la commune d'Angers d'établir un contrat de performance avec ce Parc.
En 2019 le parc enregistre plus de 330 000 visiteurs48, soit une hausse de 15% par rapport à 2018.
Selon Christian Gillet, président du conseil départemental de Maine-et-Loire : « Ces très bons résultats confirment que nous avons eu raison dans nos choix, voilà 5 ans. Non seulement Terra Botanica est devenu une véritable locomotive touristique. Le parc délivre un message moderne, intergénérationnel, tout en distrayant les visiteurs. Le public ne s’y trompe pas. Terra Botanica est un outil de médiation de nouvelle génération. Il est là pour sensibiliser les différents publics à l’importance du végétal, de la nature dans notre quotidien et au respect de la biodiversité. C’est une fierté aujourd’hui qu’il soit à Angers »49.
En novembre 2016, une décision municipale de retirer des affiches de prévention du VIH dans la ville déclenche une polémique50 qui prend une dimension nationale, et mène la ministre de la Santé, Marisol Touraine, à intervenir et à qualifier cette décision de « censure » 51.
Dans le cadre de l'affaire Fillon, il renonce à soutenir le candidat LR François Fillon à l'élection présidentielle de 201752. En vue du second tour de l'élection présidentielle française, qui oppose Emmanuel Macron à Marine Le Pen, il signe une tribune de soutien au candidat En marche53. Ce soutien, pourtant tardif dans la campagne présidentielle, est mis en relation avec la volonté de Christophe Béchu de devenir ministre dans le gouvernement du nouveau président. Il suscite alors des critiques dans son camp, ayant promis lors de ses vœux en début d'année de se consacrer à Angers et de ne pas devenir ministre tant qu’il serait maire54. Le maire de Cholet Gilles Bourdouleix lui reproche de « baisser son pantalon » pour essayer d'entrer au gouvernement55.
Début décembre 2017, il quitte Les Républicains56. Il soutient la liste de La République en marche aux élections européennes de 201957.
En 2019, un classement du journal Le Point classe Angers en deuxième position des villes les mieux gérées de France dans la catégorie des très grandes villes. Ce classement évalue l’action des maires au début et à la fin de leur mandat, sur des critères financiers. 58
Le 23 octobre 2015 Christophe Béchu est élu Président de l’Observatoire national de l’action sociale (ODAS) par le conseil d'administration59,60.
L’ODAS a pour mission d'analyser les actions des collectivités locales en matière de cohésion sociale. Il évalue notamment les politiques de protection de l'enfance, d'insertion, et de soutien de l'autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées.
Le 1er mars 2017 l’ODAS rend public son “manifeste pour une nouvelle citoyenneté”. Un document transmis aux candidats à l’élection présidentielle de 2017, estimant que le thème de la cohésion social n’était pas suffisamment mis en avant62.
Le 16 février 2018, il entre au conseil d'administration de l'Agence de financement des infrastructures de transport en France (AFITF) en tant que personnalité qualifiée63. Il en devient le président le 23 avril 201864.
L’AFITIF est un établissement public national ayant pour mission de coordonner le financement de grands projets d'infrastructures de transport, dans le respect des objectifs du développement durable et selon les orientations du Gouvernement65.
Le 9 janvier 2019, Christophe Béchu est l'un des 72 maires et élus locaux de droite à l'initiative de la République des maires (RDM), une association de maires et d’élus locaux. Ils signent dans Le Journal du dimanche une tribune de soutien au président Emmanuel Macron et au gouvernement d'Edouard Philippe66. À 100 jours des élections municipales de 2020, la RDM publie un livre blanc pour porter les idées de ses adhérents et réaffirmer le soutien à la majorité présidentielle.67 Après les élections municipales de 2020 la RDM comptabilise une centaine de membres[réf. nécessaire].
Le 17 octobre 2019 Christophe Béchu annonce sa candidature pour les élections municipales 2020 à Angers. Il conduit une liste de 59 angevins, nommée Angers Pour Vous. Parmi les candidats l’ancienne sénatrice EELV Corinne Bouchoux est présente sur sa liste68. La liste de Christophe Béchu ne prend l’investiture d’aucun parti politique mais sa candidature est soutenue par En Marche, Les Républicains, Agir, le Modem et le Parti radical69.
Le 15 mars 2020, la liste qu'il conduit remporte les élections municipales avec 57,82% des voix, au premier tour face à 5 candidats.70 La liste Angers Pour Vous remporte les 83 bureaux de vote de la ville et bénéficie de 49 sièges au conseil municipal sur 59. Le 25 mai suivant, il est réélu maire par le conseil municipal d’installation71.
Le 17 juillet 2020 il est réélu Président d’Angers Loire Métropole lors du conseil communautaire d’installation72.
Détails des mandats
- 2009-2011 : député européen, représentant de la circonscription Ouest (démissionnaire en cours de mandat)
- 2011-2017 : sénateur du Maine-et-Loire
- 1995-2008 : conseiller municipal d'Avrillé (réélu en 2001), adjoint au maire chargé de la communication de 1998 à 2001, de l'urbanisme de 2001 à 2008
- 2001-2014 : conseiller général du canton d'Angers-Nord-Ouest (réélu en 2008, démissionnaire en cours de mandat)
- 2004-2014 : président du Conseil général de Maine-et-Loire (réélu en 2008, démissionnaire en cours de mandat)
- 2008-2009 : conseiller municipal d'Angers (démissionnaire en cours de mandat)
- 2010-2011 : conseiller régional des Pays de la Loire (démissionnaire en cours de mandat)
- depuis 2014 : maire d'Angers
Décoration
- Chevalier des Arts et des Lettres (2019)73
- Ordre National du Mérite
Notes et références
- « Portait de Christophe Béchu » [archive] sur le site internet du conseil général de Maine-et-Loire, consulté le 16 juin 2009
- « Nomination dans l'ordre des Arts et des Lettres - été 2019 - Ministère de la Culture » [archive], sur culture.gouv.fr (consulté le 21 novembre 2019).
Voir aussi
- Liste des députés européens de France de la 7e législature
- Liste des sénateurs de Maine-et-Loire
- Ressources relatives à la vie publique
- SODEMEL, « Présentation » [archive], sur sodemel.fr (consulté le 21 octobre 2010).
- « Historique | Festival d'Anjou édition 2012 » [archive] (consulté le 31 juillet 2020).
- « Présentation de l'EPCC Anjou Théâtre » [archive du 10 décembre 2013], sur anjou-theatre.fr (consulté le 21 novembre 2011).
- recueil des actes administratifs de la préfecture, « Délibération du conseil d'administration de l'EPCC ANJOU THEATRE du 5 octobre 2009 » [archive] [PDF], sur maine-et-loire.pref.gouv.fr (consulté le 21 novembre 2011), p. 108
- « Liste des membres du conseil d'administration de l'EPCC Anjou Théâtre » [archive], sur anjou-theatre.fr (consulté le 21 octobre 2010).
- « Site officiel de l'association « Réseau Idéal » » [archive], sur reseau-ideal.asso.fr.
- [PDF] « GIP enfance maltraitée : Rapport d'activité 2006 » [archive] (adopté par l’Assemblée générale du 10 octobre 2007), sur le site officiel du Service national d'accueil téléphonique pour l'enfance maltraitée, p. 5
- « Patricia Adam élue Présidente du GIP Enfance en danger » [archive] sur le blog du Groupe Socialiste et Républicain du Conseil Général du Finistère, 13 novembre 2009
- « Conseil d'administration du GIPED » [archive] sur le site de l'Observatoire national de l'enfance en danger, consulté le 9 mai 2009
- « Christophe Béchu succède à Loïc Le Masne de Chermont au conseil d’administration de Dexia Crédit Local » [archive] sur Maire-Info, le 7 novembre 2007.
- (en) Dexia Crédit Local, « Annual report 2009 » [archive] [PDF], sur dexia-creditlocal.fr (consulté le 22 octobre 2010), p. 58
- (en) Participants au Groupe Bilderberg [archive]
- « Christophe Béchu, Aux marches des palais » [archive], La revue parlementaire no 875.
- Stéphane Fefeu, « Christophe Béchu, président du conseil d’administration de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France », Le Moniteur, 25 avril 2018 (lire en ligne [archive]).
- Pierre-Yves Lautrou, « Jean-Claude Antonini - Christophe Béchu : Face à face », L'Express, 25 février 2008 (lire en ligne [archive]).
- « Laboratoire centriste à l'hôtel de ville » [archive], Libération, 22 septembre 2006
- « Christophe Béchu réélu à la présidence du conseil général » [archive] sur le site officiel du conseil général de Maine-et-Loire, 20 mars 2008.
- Sébastien ROCHARD, « Comptes du Département : le verre à moitié vide... ou à moitié plein », Angers Mag - information, actualités locales, politique, culture, 18 avril 2016 (lire en ligne [archive], consulté le 2 janvier 2017).
- « Maine-et-Loire. Conseil général : Michel Piron tacle sévèrement Christophe Béchu », Courrier de l'Ouest, 12 janvier 2015 (lire en ligne [archive], consulté le 6 janvier 2017).
- « À Angers, le jeune lion face à l'éléphant » [archive], Ouest-France, 31 octobre 2007
- « Christophe Béchu et l’enjeu d’Angers » Nouvel Ouest, no 142, p. 34, novembre 2007
- « Spécial Angers : Le duel », supplément à L'Express, 7 février 2008, pages II - V
- « À Angers, Béchu coupe le cordon avec l'UMP » [archive], Ouest-France, 9 janvier 2008
- « Le soutien-surprise de J. Monnier à C. Béchu » [archive] sur angers.maville.com, 1er février 2008.
- « Résultats des élections municipales de 2008 à Angers » [archive] sur le site officiel du ministère de l'Intérieur, consulté le 17 mars 2008
- Pierre Jaxel-Truer, « Christophe Béchu, le gendre idéal de l'UMP », Le Monde, 21 janvier 2010 (lire en ligne [archive]).
- [PDF] « Conseil Municipal du 29 juin 2009 - Compte-rendu » [archive] sur le site officiel de la ville d'Angers, 1er juillet 2009, p. 1.
- « Municipales à Angers. Accusé, Christophe Béchu porte plainte », Ouest-France.fr, 6 mars 2014 (lire en ligne [archive], consulté le 6 janvier 2017).
- « Angers. Le couple Béchu nie tout enrichissement personnel », Courrier de l'Ouest, 5 mars 2014 (lire en ligne [archive], consulté le 2 janvier 2017).
- « Christophe Béchu, tête de liste UMP dans l'Ouest » [archive], sur ouest.france3.fr, 25 février 2009.
- « Le Parti socialiste laminé dans l'Ouest » [archive], sur L'Express, 7 juin 2009.
- « Christophe Béchu tête de liste UMP dans les Pays de la Loire » [archive], sur Ouest-France, 23 octobre 2009.
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- dépêche de l'Agence France-Presse, « La liste Béchu (UMP) dépose un recours » [archive], sur Le Figaro, 1er avril 2010.
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- « Parlement européen. Agnès Le Brun remplace Christophe Béchu » [archive], sur letelegramme.com, 21 décembre 2010.
- « Les portraits des quatre sénateurs de Maine-et-Loire » [archive], sur Ouest-France, 25 septembre 2011.
- « Christophe Béchu a démissionné du conseil régional » [archive], sur Ouest-France, 18 octobre 2011.
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- Jean-François Martin, « Christophe Béchu, ce maire de droite qui fait le forcing pour être ministre » [archive], ouest-france.fr, 13 mai 2017.
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- Yves TRÉCA-DURAND., « Angers. La « République des maires » sort 20 propositions à 100 jours des élections municipales » [archive], sur ouestfrance.fr, 5 décembre 2019 (consulté le 30 juillet 2020).
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