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Vendée Militaire et Grand Ouest
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31 décembre 2022

Berthelier Jean-François

Clic pour voir sa généalogie sur la ligne en dessous

 

Jean-François Berthelier

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Jean-François Berthelier
Surnom Berthel
Nom de naissance Jean-François-Philibert Berthelier
Naissance 14 décembre 1828
Panissières, France
Décès 29 septembre 1888 (à 59 ans)
Paris, France
Activité principale artiste lyrique
ténor
Style
Opérette, Opéra
Années d'activité 1849-1888

Jean-François Berthelier est un comédien et chanteur français né le 14 décembre 1828 à Panissières (département de la Loire) et mort à Paris le 29 septembre 1888.

Il est le père de Pierre Berthelier (1878-1941), comédien puis peintre qui fit partie de l'École de Carolles.

Sommaire

  • 1 Ses débuts
  • 2 Rencontre avec Offenbach
  • 3 Sous la IIIe République
  • 4 Iconographie
  • 5 Liens externes

Ses débuts

Il débute comme ténor en 1849 à Poitiers dans La Favorite de Donizetti, mais est refusé au Conservatoire de Paris. Déçu, il se tourne vers le café-concert (le « Café Charles », le « Beuglant »...) où il devient le roi de la « chansonnette », en composant certaines sous le pseudonyme de Berthel.

Rencontre avec Offenbach

Il est remarqué par Jacques Offenbach, qui l'engage aux Bouffes-Parisiens dès leur création. Il y triomphe dans Les Deux Aveugles, Une nuit blanche, Le Violoneux pour lequel il fait engager sa maîtresse, une cantatrice appelée à un succès phénoménal, Hortense Schneider) et Ba-ta-clan.

Après un passage à l'Opéra-Comique (1856-1862), où il crée Barkouf d'Offenbach et Maître Pathelin de François Bazin, il alterne entre le Palais-Royal (La Vie parisienne) et les Bouffes-Parisiens (Les Bergers, L'Île de Tulipatan, La Princesse de Trébizonde, Boule-de-Neige).

Sous la IIIe République

Après la guerre de 1870, il se produit aux Nouveautés, à la Gaîté, à la Renaissance, au Palais-Royal (La Guigne de Labiche) et aux Variétés.

Son répertoire est celui de l'opéra-comique ou l'opérette, dans des œuvres d'Hervé (La Veuve du Malabar) avec Hortense, Lecocq (Les Cent Vierges, Le petit duc), Audran (Le Grand Mogol) et Offenbach (Les Braconniers, La Boulangère a des écus). Il fait également quelques apparitions aux réunions de la société chantante du Pot-au-Feu.

Iconographie

  • Portrait gravé à l'eau-forte par Alfred Taiée (1876), dans Vingt tableaux de la collection Berthelier, Paris, chez Alfred Cadart — sur Gallica [archive].

Liens externes

  • Notices d'autorité
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