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Vendée Militaire et Grand Ouest
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3 novembre 2017

Chénier André

Clic pour voir sa généalogie sur la ligne en dessous

 

 
André Chénier

220px-André_Chénier_(by_Joseph-Benoît_Suvée)

Portrait peint lors de son emprisonnement par Joseph-Benoît Suvée.

Nom de naissance André Marie de Chénier
Naissance 30 octobre 1762
Constantinople, Ottoman flag.svg Empire ottoman
Décès 25 juillet 1794 (à 31 ans)
Paris, Drapeau de la France France, Ire République
Activité principale
Poète
Auteur
Langue d’écriture français
Mouvement Romantisme (hellénisme)

André Marie de Chénier, dit André Chénier, fils de Louis de Chénier, est un poète né le 30 octobre 1762 à Constantinople et mort guillotiné à Paris le 7 Thermidor de l'an II (25 juillet 1794) à 31 ans.

L'œuvre inachevée de ce jeune poète du XVIIIe siècle, publiée progressivement à partir de 1819, a fait de lui une figure majeure de l'hellénisme en France1.

Sommaire

  • 1 Biographie
    • 1.1 Enfance et adolescence
    • 1.2 Activités poétiques
    • 1.3 Journalisme
    • 1.4 Arrestation et condamnation
  • 2 Œuvres
  • 3 Œuvres d’art inspirées de ses poèmes et de sa vie
  • 4 Hommage
  • 5 Bibliographie
  • 6 Notes et références
    • 6.1 Notes
    • 6.2 Références
  • 7 Articles connexes
  • 8 Liens externes

Biographie

Enfance et adolescence

Né à Galata, quartier de Constantinople (aujourd'hui Istanbul en Turquie), d’une mère grecque (Elisabeth Lhomaca)2,3 et d’un négociant français, qui, une fois rentré en France avec les siens en 1765, repartit bientôt, sans eux, pour être consul au Maroc (Louis de Chénier). André fut élevé par des parents à Carcassonne, puis fit de solides études à Paris, comme pensionnaire au Collège de Navarre, où il se passionna pour l'Antiquité et la poésie classique. Il s'y lia avec des fils de grandes familles, grâce auxquels il put ensuite fréquenter les milieux littéraires et aristocratiques.

Activités poétiques

Pour l'arracher à un amour malheureux pour une chanteuse de l'Opéra (sa Lycoris), on lui ménagea un stage d'élève officier à Strasbourg en 1782 ; mais il se vit fermer la carrière militaire comme roturier. Reportant désormais toute son ambition vers la poésie, quoique sans publier, il conçut de grands projets, avec l'espoir de devenir « l’Homère des modernes »2. Cependant, après un voyage en Suisse en 1784, il composa surtout des Élégies et des Bucoliques, où l'imitation des modèles antiques4 servait l'expression esthétique d'une inspiration orientée par sa passion pour la mondaine Michelle Guesnon de Bonneuil (appelée D'Azan ou Camille), puis par son amitié amoureuse pour la peintre italo-anglaise Maria Cosway née Hadfield, épouse de Richard Cosway, courtisée par l'ambassadeur américain Thomas Jefferson.

À partir de février 1787, au retour d'un rapide et mystérieux voyage en Italie, il s'occupa plus activement de poèmes philosophiques et satiriques qui portent la marque du climat idéologique et politique de l'époque pré-révolutionnaire ; mais sa situation précaire l'obligea à contenir sa combativité. Engagé comme ambassadeur privé du Marquis de la Luzerne, ambassadeur de France en Angleterre, il partit le 1er décembre 1787 en compagnie de Maria Cosway, qui rentrait à Londres, où il resta en service jusqu'en 1790, tout en disposant chaque été d'un congé à Paris.

Journalisme

Il contribua au Journal de la Société de 1789 qui compta une quinzaine de numéros2. À partir de 1791, il collabora, comme Michel Regnaud de Saint-Jean d'Angély et François de Pange, au Journal de Paris, organe du parti constitutionnel, où il condamna la Terreur de la Révolution dans des articles critiques contre Jacques Pierre Brissot, et d'autres plus véhéments contre les Jacobins, notamment Robespierre et Marat2. Inquiété pour ses prises de position publiques, il réussit à sortir de Paris, après le 10 août 1792, quittant le quartier du Sentier, où il résidait chez ses parents. Au moment des massacres de Septembre, il se rendit à Rouen, puis au Havre, d'où il aurait pu embarquer. Il refusa néanmoins d'émigrer et revint à Paris, pour participer aux tentatives faites pour arracher Louis XVI à l'échafaud. Il se replia au printemps 1793 à Versailles, d'où il se rendait souvent à Louveciennes où se trouvait la propriété de ses amis Lecouteulx2. Discrètement amoureux de Françoise Lecouteulx, il composa pour elle la mélancolique série des Odes à Fanny.

Arrestation et condamnation

André Chénier est arrêté à Passy le 7 mars 1794 alors qu’il rend visite à son amie, Mme Pastoret. Venant de Versailles, il est accompagné d'Émilie-Lucrèce d’Estat qui, comme lui, a participé aux achats de votes de Conventionnels pendant le procès de Louis XVI. Mlle d’Estat, maîtresse puis épouse de José Ocariz, l’ancien chargé d’affaires ayant rang d’ambassadeur espagnol à Paris avant la déclaration de guerre, qui a supervisé cette vaste opération de corruptionNote 1, a conservé des papiers relatifs à cette affaire. Ce dossier très important qu'André Chénier a eu entre les mains est activement recherché par les comités de l’an II.

Sachant que Mlle d’Estat, dont le frère et la sœur viennent d’être guillotinés, est elle-même en grand danger, Chénier se met courageusement en avant, créant une espèce de confusion à l’occasion de laquelle Mlle d’Estat peut s’esquiver tandis qu’on l’emmène, lui, en prison à Saint-Lazare. Impliqué dans une des fausses conspirations qui permettent d’exécuter les suspects sans les entendre, il est condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire, pour avoir « recelé les papiers de l'ambassadeur d'Espagne ». Mais il est surtout accusé comme « ex-adjudant chef et chef-de-brigade » sous les ordres de Charles-François Dumouriez et « d'un mémoire contre des habitants de la commune de Breteuil alors que c'est son frère « Sauveur » Chénier qui en est l'auteur et qui est lui-même emprisonné à Beauvais »5.

Il est guillotiné le 7 thermidor, avec le poète Jean-Antoine Roucher et Frédéric de Trenck, deux jours avant l’arrestation de Robespierre. La veille de sa mort, il aurait écrit l’ode La Jeune Captive, poème qui évoque la figure de sa muse, Aimée de Coigny.

S'adressant à Jean Antoine Roucher, ses dernières paroles6 prononcées avant de monter sur l’échafaud sont : « Je n'ai rien fait pour la postérité » et d'ajouter (se désignant la tête) : « Pourtant, j’avais quelque chose là ! » ou « C'est dommage, il y avait quelque chose là ! »Note 2. Son corps, parmi mille trois cents autres victimes de la Terreur et de la guillotine, est jeté Place de la Nation, dans une fosse commune du couvent des Chanoinesses, plus tard devenu le cimetière de Picpus à Paris7.

Il est aussi connu pour l'anecdote suivante : attendant son tour devant l'échafaud, il lit un livre de Sophocle. Lorsque le bourreau l'appelle pour lui lier les mains, Chénier remet son livre en poche, non sans avoir corné la page8...

Il est, avec Chatterton et Gilbert, l’un des trois auteurs «maudits» présentés par le Docteur Noir dans le Stello d’Alfred de Vigny. Considéré par les romantiques comme leur précurseur, sa destinée a inspiré l’opéra vériste d’Umberto Giordano, Andrea Chénier, dont la première eut lieu à La Scala de Milan, le 28 mars 1896.

Son vers « Elle a vécu Myrto, la jeune Tarentine » demeure indissolublement lié à son nom.

Il est aussi l'auteur d'un poème en l'honneur de Charlotte Corday, intitulé Ode à Marie-Anne-Charlotte Corday.

En 1910, Jean-Marie Mestrallet rédige un poème dramatique en quatre actes : André Cheniér9,10.

Dans ses Poèmes de Fresnes écrits en prison d'où il attend son jugement, Robert Brasillach compare sa situation à celle d'André Chénier.

Son frère cadet, Marie-Joseph Chénier, écrivain, dramaturge, mena de pair une carrière politique. Après la mort d'André, les Royalistes se livrèrent à une violente campagne diffamatoire, le traitant de Caïn et l’accusant faussement, pour discréditer les Républicains, d’avoir laissé exécuter son frère.

Œuvres

  • Les Bucoliques, publication posthume (1819)
  • À Abel (Élégies)
  • À Charlotte Corday (Hymnes et Odes)
  • À compter nos brebis je remplace ma mère (Poésies Antiques)
  • À de Pange aîné (Épîtres)
  • À de Pange (Élégies)
  • À Fanny (I) (Élégies)
  • À Fanny (II) (Élégies)
  • À Fanny (III) (Élégies)
  • À Fanny malade (Élégies)
  • À l’hirondelle (Poésies Antiques)
  • À la France (Hymnes et Odes)
  • Ah ! je les reconnais, et mon cœur se réveille (Élégies)
  • Ah ! portons dans les bois ma triste inquiétude (Élégies)
  • Ah ! prends un cœur humain, laboureur trop avide (Poésies Antiques)
  • Amymone (Poésies Antiques)
  • Arcas et Palémon (Idylles)
  • Art d’aimer, fragment III (Poèmes)
  • Art d’aimer, fragment II (Poèmes)
  • Art d’aimer, fragment VIII (Poèmes)
  • Art d’aimer, fragment VI (Poèmes)
  • Au chevalier de Pange (Elégies)
  • Aux frères de Pange (Elégies)
  • Bacchus (Poésies Antiques)
  • Bel astre de Vénus… (Poésies Antiques)
  • Chrysé (Poésies Antiques)
  • Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyr (Dernières poésies)
  • Epigramme d'Evenus de Paros (Idylles)
  • Épilogue (Poésies Antiques)
  • Euphrosyne (Poésies Antiques)
  • Fille du vieux pasteur, qui d’une main agile (Poésies Antiques)
  • Hercule (Poésies Antiques)
  • Hylas (Poésies Antiques)
  • Ïambes [archive] (Poèmes)
  • Il n’est donc plus d’espoir, et ma plainte perdue (Élégies)
  • Il n’est que d’être roi pour être heureux au monde (Élégies)
  • Innaïs (Idylles)
  • J’étais un faible enfant qu’elle était grande et belle (Poésies Antiques)
  • Je sais, quand le midi leur fait désirer l’ombre (Poésies Antiques)
  • Jeune fille, ton cœur avec nous veut se taire (Élégies)
  • L’Amérique (Poèmes)
  • L’amour endormi (Poésies Antiques)
  • L’amour et le berger (Poésies Antiques)
  • L’amour laboureur (Poésies Antiques)
  • L’art, des transports de l’âme est un faible interprète (Élégies)
  • L'Oaristys (Idylles)
  • La jeune captive (Dernières poésies)
  • La jeune L
  • La jeune Locrienne (Idylles)
  • La jeune Tarentine
  • La liberté (Idylles)
  • L'aveugle (Idylles)
  • Le jeune malade (Idylles)
  • Le mendiant (Idylles)
  • Lydé (Idylles)
  • Mnazile et Chloé (Idylles)
  • Néère (Idylles)
  • Sur un groupe de Jupiter et d'Europe (Idylles)
  • Tout hommes a ses douleurs. Mais aux yeux de ses frères (Élégies)

Œuvres d’art inspirées de ses poèmes et de sa vie

Buste d'André Chénier par le sculpteur David d'Angers (1839).
  • La jeune Tarentine par Alexandre Schoenewerk, sculpture en marbre, 1871, 171 cm x 74 cm x 68 cm. Coll. Musée d’Orsay, Paris (France).
  • Torse de La Jeune Captive par René Iché, sculpture en marbre, 1932, H. 64 cm. Coll. Fonds municipal d'art contemporain de la Ville de Paris, Paris (France).
  • La Jeune Tarentine par René Iché, sculpture en marbre, 1932-34, L. 85 cm. Coll. privée, New-York (États-Unis).
  • Andrea Chénier, opéra d’Umberto Giordano sur un livret de Luigi Illica (1896).
  • Le Pas du juge (2009), roman de Henri Troyat dont il est le personnage central, avec son frère Marie-Joseph et leurs parents (le père est Louis de Chénier).

Hommage

À Paris, dans le 2e arrondissement, une rue Chénier existe depuis 1864, à quelques pas du 97 rue de Cléry où est apposée une plaque mémorielle. Et il y a aussi un collège appelé le collège André Chénier à Marseille dans le 12e arrondissement. L'Institution Sainte-Marie d'Antony possède un amphithéâtre nommé André Chénier.

À Versailles, une rue André Chénier existe dans le centre-ville. Elle est l'une des quatre rues périphériques de la Place du Marché Notre-Dame. Sur un plan de 1854 cette rue s'appelait Rue des Fripiers11, elle apparaît sous son nom actuel sur un plan de 188912.

Bibliographie

Œuvres de Chénier
  • André Chénier, Œuvres complètes, Paris, Gallimard, 1940, Bibliothèque de la Pléiade, édition de Georges Walter.
  • André Chénier, Poésies, Paris, Gallimard, 1994, coll. "Poésie", édition de Louis Becq de Fouquières, fac-similé de l'édition de 1872, (ISBN 2-07-032812-0).
  • André Chénier, Œuvres poétiques, tome 1 : Imitations et préludes. Art d'aimer. Élégies. Édition critique par Georges Buisson et Édouard Guitton, Paradigme, 2005.
  • Andre Chénier, Œuvres poétiques, tome 2 : Bucoliques. Epîtres et Poétique. L'Invention. Édition critique par Georges Buisson, Paradigme, 2010, édition de référence du jury de l'agrégation de Lettres.
Ouvrages sur Chénier
  • Georges Walter, André Chénier, son milieu, son temps, Paris, Robert Laffont, 1946.
  • Jean-Marie Gerbault, André Chénier, Paris, Seghers, 1958.
  • Catriona Seth, André Chénier, le miracle du siècle, Paris, PUPS, 2005.
  • Jean Goulemot, André Chénier : poésie et politique, (avec Jean-Jacques Tatin-Gourier), Paris, Minerve, 2005, vol.I, 219 p.  (ISBN 2-86931-113-3)
  • Catriona Seth et Agnès Steuckardt, André Chénier. Études sur les Imitations et préludes poétiques, Art d'aimer et Elégies, Neuilly, Atlande, 2005.
  • Venance Dougados et son temps, André Chénier, Fabre d'Églantine, actes du colloque international tenu à Carcassonne les 5, 6 et 7 mai 1994, (éd.) Sylvie Caucanas et Rémy Cazals, 1995, 222 p.  (ISBN 2-906442-12-7)
  • Henri Troyat, Le pas du juge ou la vie des frères Chénier, Paris, de Fallois, 2009, 202 p. (ISBN 978-2-8770-6682-2)
Articles
  • Yves Citton,
  1. « André Chénier et la dynamique constituante des affects », dans Jean-Noël Pascal (éd.), Lectures de Chénier : Imitations et préludes poétiques, Art d’aimer, Presses universitaires de Rennes, 2005, p. 31-46.
  2. « André Chénier entre l’abeille et la harpe éolienne:enjeux poétiques et politiques de l’imitation inventrice » (Lire en ligne [PDF] [archive]).
  3. « Le dilemme du peintre affligé. André Chénier et la cartographie de l’élégiaque », Cahiers Roucher-André Chénier, no 25 spécial sur l’Élégie, 2006, p. 91-118.
  4. « Gémir en silence. Puissance des engagements hétérogènes d’André Chénier », Laurent Loty (éd), Littérature et engagement sous la Révolution française, Presses Universitaires de Rennes, 2007, p. 163-191.
  5. « La propriété poétique, c’est le vol de l’abeille. Éloge du copillage chez André Chénier », in Martial Poirson, Christian Biet et Yves Citton, Les Frontières littéraires de l’économie XVIIe-XIXe siècles, Desjonqueres, 2008, (ISBN 2843211085).
  • Joann Élart, « Une adaptation musicale de La Jeune captive par Vernier (1819) », in Catriona Seth, André Chénier. Le miracle du siècle, Paris, PUPS, 2005, p. 307-316.
  • Catriona Seth, « J’écris ton nom », Lectures d’André Chénier. Imitations et préludes poétiques, Art d’aimer, Elégies, sous la direction de J.-N. Pascal, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2005, p. 93-101.
  • Catriona Seth, « Les cheveux épars de la Muse », Europe no 921-922, janvier-février 2006, p. 219-236.
  • Catriona Seth, « André Chénier et Marceline Desbordes-Valmore : l’écho d’une voix fraternelle » in Cahiers Roucher - André Chénier no 9 (1989).
  • Émile Egger, L'hellénisme en France : leçons sur l'influence des études grecques dans le développement de la langue et de la littérature françaises, Paris, Librairie académique Didier, 1869 (deux articles sur A. Chénier, pages 331 à 385) lire en ligne [archive]

Notes et références

Notes
  1. Des fonds débloqués par la cour d’Espagne, avaient été transférés de la banque Saint-Charles vers celle, à Paris, des Le Couteulx à Paris qui les mirent à la disposition de Chénier, Richer de Sérisy, Michel Regnaud de Saint-Jean d’Angély, Félix Le Peletier et autres distributeurs d’argent aux Conventionnels. Parmi ces derniers, Tallien.
  2. « Tout le monde connait le mot d'André Chénier sur l'échafaud : « C'est dommage, dit-il en se frappant le front, il y avait quelque chose là ! » ». (Notes de Contre la peine de mort, Méditations Poétiques, Lamartine)
Références
  1. Émile Egger, L'Hellénisme en France, leçons sur l'influence des études grecques dans le développement de la langue et de la littérature françaises, Paris, Didier, 1869, 2 vol. in-8° (notice BnF no FRBNF30395567), Tome II, p. 386
    L'hellénisme en France, Tome II sur Google Livres
  2. a, b, c, d et e André Chénier, Georges Buisson (Éditeur scientifique) et Édouard Guitton (Éditeur scientifique), Œuvres poétiques, Orléans, Paradigme, coll. « Hologrammes », 2005, 21 cm (ISSN 1773-7036, notice BnF no FRBNF39982759), Tome I, Chronologie
  3. André Chénier (préf. Henri de Latouche), Poésies de André Chénier, Paris, Charpentier et Cie, 1870, XLVIII-283 p. ; 18 cm (notice BnF no FRBNF30232716)
  4. Émile Egger, L'Hellénisme en France, leçons sur l'influence des études grecques dans le développement de la langue et de la littérature françaises, Paris, Didier, 1869, 2 vol. in-8° (notice BnF no FRBNF30395567), Tome I, p. 7
    L'hellénisme en France, Tome I sur Google Livres
  5. André Chénier et Paul Lacroix (Éditeur scientifique), Œuvres en prose de André Chénier, augmentées d'un grand nombre de morceaux inédits et précédées d'une notice littéraire par Eugène Hugo et d'une notice historique contenant toutes les pièces relatives à son procès : Seule édition complète publiée sur les manuscrits autographes de l'auteur, Paris, C. Gosselin, 1840, In-18, LVIII-332 p. (notice BnF no FRBNF30232746)
  6. André Chénier et Marie-Joseph de Chénier, Œuvres d'André et de M.-J. Chénier, Bruxelles, Laurent frères, 1829, In-32, XXIV-536 p. (notice BnF no FRBNF31938072)
  7. « Fêtes picpuciennes » [archive], sur www.ssccpicpus.fr (consulté le 5 mai 2014)
  8. Émission "Ça peut pas faire de mal", Guillaume Galienne, France Inter, 24 janvier 2015.
  9. Jean-Marie Mestrallet (préf. Paul Margueritte), André Chénier, poème dramatique en 4 actes, Paris, E. Sansot, 1911, In-12, 83 p. (notice BnF no FRBNF30934331)
  10. Catriona Seth (dir.), André Chénier : le miracle du siècle, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, coll. « Mémoire de la critique », 2005, 349 p., couv. ill. ; 21 cm (ISBN 2-84050-418-9, ISSN 1269-7621, notice BnF no FRBNF40076258), p. 33
    André Chénier: le miracle du siècle sur Google Livres
  11. Auguste (1804-1876) Auteur du texte Logerot, « Plan pittoresque de la ville et du parc de Versailles » [archive], sur Gallica,‎ 1er janvier 1854 (consulté le 19 octobre 2016)
  12. Bieuville Auteur du texte et L. (18-19 ; éditeur à Versailles) Auteur du texte Bernard, « Plan de Versailles en 1889 / dressé par Bieuville... » [archive], sur Gallica,‎ 1er janvier 1889 (consulté le 19 octobre 2016)

Articles connexes

 

Liens externes

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