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Vendée Militaire et Grand Ouest
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23 avril 2023

de Gaulle Philippe

Clic pour voir sa généalogie sur la ligne en dessous

 

Philippe de Gaulle

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Philippe de Gaulle en 1976.
Fonctions
Sénateur français
2 octobre 1986 – 30 septembre 2004
(17 ans, 11 mois et 28 jours)
Élection 28 septembre 1986
Réélection 24 septembre 1995
Circonscription Paris
Groupe politique RPR (1986-2002)
UMP (2002-2004)
Successeur Philippe Dominati
Inspecteur général des forces maritimes et aéronavales
1er novembre 1980 – 28 décembre 1982
(2 ans, 1 mois et 27 jours)
Prédécesseur Jean Tardy
Successeur Gérard de Castelbajac
Biographie
Nom de naissance Philippe Henri Xavier Antoine de Gaulle
Date de naissance 28 décembre 1921 (101 ans)
Lieu de naissance Paris 7e (France)
Nationalité Française
Parti politique RPR (1984-2002)
UMP (2002-2004)
MIL (depuis 2006)
Père Charles de Gaulle
Mère Yvonne Vendroux
Fratrie Élisabeth de Gaulle
Anne de Gaulle
Conjoint Henriette de Montalembert de Cers
Enfants Charles de Gaulle
Yves de Gaulle
Jean de Gaulle
Pierre de Gaulle
Diplômé de École navale
Royal Naval College
École supérieure de Guerre navale
Collège de défense de l'OTAN
Centre des hautes études militaires
Institut des hautes études de Défense nationale
Profession Officier général de la Marine nationale
Écrivain
Religion Catholicisme

Philippe de Gaulle, né le 28 décembre 1921 à Paris, est un officier général de marine et homme politique français.

Fils d'Yvonne de Gaulle et du général Charles de Gaulle, issu de l'École navale (promotion 1940), passé par l'Aéronautique navale, il termine sa carrière militaire en 1982 aux rang et appellation d'amiral. Il est ensuite sénateur de Paris de 1986 à 2004.

Biographie

Enfance

Né le 28 décembre 1921 au 99, bd de Grenelle dans le 15e arrondissement de Paris, Philippe Henri Xavier Antoine de Gaulle est baptisé le 8 janvier 1922 en l'église Saint-François-Xavier. Il a pour marraine Marguerite Vendroux, sa grand-mère maternelle. Son parrain est son oncle paternel, Xavier de Gaulle.

Enfant, il suit ses parents en Allemagne et au Liban, au gré des affectations de son père, et fait ses études au collège Saint-Nicolas à Paris. Très tôt, il se reconnaît une vocation de marin. Il est élevé en vertu des principes de l'éducation d'alors : « Chez nous, on ne parlait jamais d'argent… Un jour, j'ai osé demander à table : « Combien papa gagne-t-il ? » Je devais avoir huit ans ou dix ans. On m'a immédiatement rétorqué : « On ne parle pas d'argent à table, et de toute façon, les enfants n'ont rien à en dire car, n'en gagnant pas, ça ne les regarde pas ».

Carrière militaire
Officier général francais 5 etoiles.svg Philippe de Gaulle
Philippe de Gaulle
Philippe de Gaulle pendant la Seconde Guerre mondiale.

Surnom « Sosthène » (par Le Canard enchaîné)
Origine Drapeau de la France France
Allégeance Drapeau de la France France libre
Drapeau de la France France
Arme Marine Naval Jack of Free France.svg Logo of the French Navy (Marine Nationale).svg
Grade Amiral
Années de service 1940 – 1982
Commandement Flottille 6F
Suffren (D602)
Escadre de l'Atlantique
Inspecteur général de la marine
Conflits Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Indochine
Faits d'armes Bataille de l'Atlantique
Libération de la France
Libération de Paris
Campagne de Lorraine
Bataille des Vosges
Bataille d'Alsace
Poche de Colmar
Poche de Royan et de la pointe de Grave
Distinctions Grand-croix de la Légion d'honneur Grand-croix de la Légion d'honneur
Grand-croix de l'ordre national du Mérite Grand-croix de l'ordre national du Mérite
Commandeur de l'ordre du Mérite maritime‎ Commandeur de l'ordre du Mérite maritime
Ruban de la croix de guerre 1939-1945.PNG Croix de guerre 1939-1945
Médaille de l'Aéronautique Médaille de l'Aéronautique
Ordre de la Guerre patriotique Ordre de la Guerre patriotique (URSS) 1re classe
Prix d'Académie de l’Académie Française (1988)
prix Louis-Marin (1998)
prix Saint-Simon (2004)
prix Honneur et Patrie (2004)
Autres fonctions Sénateur français
Écrivain

Philippe de Gaulle est élève du collège Stanislas en 1939. Se destinant à l'École navale, il suit la préparation militaire supérieure. Le concours d’admission à l’École navale de 1940 est interrompu par l’avancée des Allemands en France et de ce fait non validé. Il quitte Brest le 18 juin 1940 à bord d'un cargo avec sa famille. Il n'entend pas l'appel du 18 Juin lancé par son père, mais en a connaissance le lendemain à son arrivée à Falmouth en Grande-Bretagne.

D'après Geoffroy Chodron de Courcel, il fut le premier compagnon de son père mais le titre de Compagnon de la Libération ne lui sera pas accordé, le décès d'Hubert Germain en 2021 emportant le dernier compagnon officiel.

Il s'engage le 20 juin dans les Forces navales françaises libres (FNFL). Il sert comme matelot sans spécialité, et comme pompier auxiliaire à Londres pendant la bataille d'Angleterre. Ayant été reçu comme élève au concours d'admission de l'École navale, promotion 1940, il embarque à bord du cuirassé Courbet en septembre 1940, à Portsmouth. Avec d'autres futurs élèves-aspirants, il est affecté à la défense contre-avions (DCA), et y suit six mois de cours dont un mois de formation militaire au camp britannique de Camberley du 15 octobre au 15 novembre 1940, puis cinq mois à bord du Président Théodore Tissier à Portsmouth du 15 novembre 1940 au 15 avril 1941. Il en sort second maître-élève aspirant à l'examen de sortie, en avril 1941.

Après avoir participé à de nombreuses sorties à la mer le long des côtes anglaises, à bord des goélettes Belle Poule et Étoile, annexes de l'École navale, il est nommé aspirant en octobre 1941. Il participe à plusieurs stages d'armes dans les écoles britanniques dont le Royal Naval College de Dartmouth. Il est promu enseigne de vaisseau de 2e classe en février 1943.

Embarqué sur la corvette Roselys, de février à mai 1942 (bataille de l'Atlantique), il est affecté successivement sur le chasseur CH.11 qui effectue escortes et patrouilles en Manche, puis à la 23e flottille de Motor Torpedo Boat (MTB) de septembre 1942 à septembre 1943 où il est l'officier en second de la vedette lance-torpilles MTB.96. Il effectue vingt patrouilles en Manche, participe à trois engagements avec l'ennemi. Il est promu enseigne de vaisseau de 1re classe en février 1944, puis embarque sur la frégate La Découverte, de septembre 1943 à mai 1944 (bataille de l'Atlantique).

Il participe ensuite à la Libération de la France (1944-1945) où il commande un peloton du régiment blindé de fusiliers-marins de la 2e DB et combat à Alençon, Argentan et Antony. Le 25 août 1944, il participe à la libération de Paris, de la porte d'Orléans en passant par l’École militaire, la rue Royale, le palais du Luxembourg, la gare du Nord, la gare de l’Est, Saint-Denis, Le Bourget et Stains. Il est envoyé depuis la gare Montparnasse pour porter l'ordre de reddition aux Allemands retranchés au palais Bourbon dans les locaux de l'Assemblée nationale. Il doit négocier seul et désarmé, au milieu d'eux, au risque de se faire tuer si les choses tournent mal. Il participe ensuite à la campagne de Lorraine, la bataille des Vosges, la bataille d'Alsace, la poche de Colmar, la poche de Royan et de la pointe de Grave pour terminer au Berghof à Berchtesgaden pendant l'hiver 1944-1945.

Durant la Seconde Guerre mondiale, il a reçu six blessures légères. Pour avoir été combattant pendant l'ensemble du conflit, notamment la bataille de l'Atlantique et la campagne de la Manche, il reçoit au début d'avril 1945 à Argenton-sur-Creuse la Croix de guerre 1939-1945 avec trois citations, des mains du général Leclerc. En mai 1945, comme les deux tiers de ses camarades anciens élèves de l’École navale en Grande-Bretagne, il poursuit sa carrière dans la Marine nationale française. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur à la fin de l'année 1946.

Il est titulaire des brevets de Nageur de combat, Brevet d’escouade commando, Brevet d'instructeur parachutiste, de fusilier marin au Royal Naval College. Par ailleurs il obtient les brevets de pilote d'ULM, de planeur, de deltaplane, de ballons, et d'autogire obtenus pendant la Seconde Guerre mondiale au Royal Naval College.A la sortie de la Seconde Guerre mondiale, il suit, du 9 juillet 1945 au 10 octobre 1946, à la base aéronavale de Chapel Hill en Caroline du nord (États-Unis) les cours de pilote de chasse et en sort breveté. Après un stage à l'école de l'aviation embarquée de la BAN Cuers du 10 octobre 1946 au 1er novembre 1946, il est breveté pilote d'aéronautique et poursuit une carrière dans l'aéronavale. D'abord affecté à la base d'aéronautique navale (BAN) d'Hyères (Le Palyvestre) le 1er novembre 1946, à la flottille 4 F puis à la flottille 3 F, dotées de Douglas SBD-5 en novembre 1946. Le 1er juillet 1947, il est responsable du service intérieur et capitaine de compagnie. Il effectue de 1946 à 1948 et de 1952 à 1954 deux campagnes de guerre en Indochine dans l'aviation embarquée, avec appontages sur porte-avions, de jour comme de nuit, durant deux ans et demi.

Lieutenant de vaisseau le 24 décembre 1948. Le 19 octobre 1948, il est affecté comme officier en second de l'escadrille 50 S, l'escadrille d'instruction de l'École navale (basée à Lanvéoc). En 1948, il obtient le brevet de pilote d'hydravion. En 1951, il est l’un des premiers pilotes d’hélicoptères français en obtenant son brevet de pilote aux États-Unis auprès de Sikorsky, l’un des développeurs des premiers hélicoptères.Le 12 mai 1951, il est affecté comme chef du service d'instruction, puis officier en second à la flottille 2 F à la BAN Port-Lyautey comme officier en second de la 2 F, équipée de d'avions de patrouilles maritimes Lancaster9.En 1952, il obtient le brevet de pilote de ligne.

Entre le 15 mai 1952 et le 2 octobre 1952, il devient officier en second de la flottille 6 F, affectée à la BAN de Lartigue (Oranie) (avions embarqués Grumman équipée de bombardiers-torpilleurs TBM. Du 2 octobre 1952 au 11 octobre 1954, il est le commandant de la flottille 6F. Du 11 octobre 1954 au 18 mai 1956, il embarque à bord du porte-avions La Fayette en tant que chef du service pont d'envol-hangar (PEH). Durant cette période, il effectue deux missions en Indochine dans l'aéronavale, embarqué sur porte-avions, avec appontage de jour et de nuit (guerre d'Indochine).

Capitaine de corvette le 1er avril 1956. Du 18 mai 1956 au 13 octobre 1956, il est chef du service instruction de la BAN Hyères-Le Palivestre. Du 13 octobre 1956 au 16 janvier 1957, il est affecté au 3e bureau de l'état-major de la marine. Du 16 janvier 1957 au 2 janvier 1958, il est stagiaire à l'école supérieure de guerre navale. Du 2 janvier 1958 au 15 septembre 1959, il est affecté au 3e bureau section aéronautique de l'état-major de la marine.

Du 15 septembre 1959 au 19 décembre 1960, il est adjudant de la 2e division d'escorteurs d'escadre (DEE2), à bord de l'EE Duperré. Du 19 décembre 1960 au 4 janvier 1962, il prend le commandement de l'escorteur rapide Le Picard et brièvement en fin d'embarquement il est chef de la 3e division d'escorteurs rapides : la 3e DER.

Capitaine de frégate le 1er octobre 1961, il débarque du Picard le 21 décembre 1961. Il est élève du Collège de défense de l'OTAN entre le 4 janvier 1962 et le 4 juillet 1962. D'abord du 4 juillet 1962 au 24 novembre 1964, il est affecté à la division emploi de l'État-Major des armées, puis du 24 novembre 1964 au 23 août 1966, commande l'aéronautique navale de la région parisienne à Dugny-Le Bourget.

Capitaine de vaisseau le 1er avril 1966. Du 23 août 1966 au 23 janvier 1967, il est affecté à la division Armements navals, à l'État-major des armées. Il commande la frégate lance-missiles Suffren du 23 janvier 1967 au 23 avril 1968. Entre le 23 avril 1968 et le 23 septembre 1968, il fait ensuite partie du groupe de travail sur l'avenir de la Marine (État-major de la Marine). Il est auditeur au Centre des hautes études militaires (CHEM) et à l'Institut des hautes études de Défense nationale (IHEDN) entre le 23 septembre 1968 et le 22 septembre 1969. Il commande ensuite l'aéronautique navale de la 2e région maritime (Brest) entre le 22 septembre 1969 et le 17 mai 1971. Entre le 17 mai 1971 et le 23 mai 1973, il est chef de la division Études générales à l'État-major des Armées.

Philippe de Gaulle en 1976.

Contre-amiral le 1er septembre 1971 et commande le Groupe naval d'essais et de mesures (GROUPEM) du 23 mai 1973 au 9 décembre 1974, hissant sa marque sur le bâtiment réceptacle Henri Poincaré. Il commande ensuite l'aviation de patrouille maritime (ALPATMAR) à la BAN Dugny-Le Bourget entre le 9 décembre 1974 et le 6 février 1976.

Philippe de Gaulle en 1976.

Vice-amiral le 1er juin 1975, il commande l'escadre de l'Atlantique du 6 février 1976 au 10 octobre 1977.

Élevé au rang et appellation de vice-amiral d'escadre le 1er juin 1977, il préside la commission permanente des essais entre le 10 octobre 1977 et le 1er novembre 1980.

Élevé au rang et appellation d'amiral, le 25 juin 1980, Philippe de Gaulle termine sa carrière au poste d'inspecteur général de la Marine du 1er novembre 1980 au 29 décembre 1982 avant d'être admis en deuxième section, le 29 décembre 1982.

Par ailleurs il enseigne à l’École supérieure de Guerre navale (1958-1959, 1962-1967, 1968-1982), au Centre des hautes études militaires (1969-1982), a l’Institut des hautes études de Défense nationale (1969-1982) et au Collège de défense de l'OTAN (1962-1967). Il est membre du Conseil supérieur de la Marine à partir de 1977. Il dirige la délégation française lors des négociations de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, convention conclue à Montego Bay (Jamaïque) le 10 décembre 1982 après 9 ans de discussions. Celle-ci prévoyant la création du Tribunal international du droit de la mer et de l’Autorité internationale des fonds marins.

Parcours politique

Certains écrits de Charles de Gaulle évoquent la possibilité d'une carrière politique pour son fils. Il écrit le 28 avril 1951 : « Je sais qu'à Port-Lyautey, comme ailleurs, tu feras honneur à tout ce que, désormais, notre famille représente et qui sera un jour sans doute ta propre charge » ; puis, le 15 décembre 1951 : « Si je suis mort ou hors de course lors de l'éruption du volcan, c'est toi, mon fils, qui devras devenir le De Gaulle du nouveau drame ». Dans une lettre du 4 mai 1961, on trouve : « Les événements m'amènent à réfléchir à ce qui pourra peut-être prolonger ou reprendre ce que j'ai entrepris à la tête de notre pays et, par là même, Philippe de Gaulle ne manque pas de m'occuper ». Le 12 avril 1964, le général donne à son fils ces instructions :

« S'il devait arriver que je disparaisse prochainement sans avoir directement fait connaître qui, dans les circonstances présentes, je souhaite que le peuple français élise pour mon successeur immédiat comme Président de la République, je te confie le soin de publier aussitôt la déclaration ci-jointe. Je dis : mon successeur immédiat, parce que j'espère qu'ensuite c'est toi-même qui voudras et pourras assumer à ton tour la charge de conduire la France. »

À la fin des années 1960, un parti gaulliste « légitimiste », le Centre des républicains libres se constitue. Mené par Joseph Bozzi, cousin du député Jean Bozzi, il préconisait le recours à l'amiral Philippe de Gaulle comme seul héritier possible du gaullisme. Son influence demeura néanmoins très faible.

Philippe de Gaulle est membre du Bureau Politique du RPR entre 1984 et 2002, Secretaire national aux relations extérieures (1989-1994). Il est élu Conseiller de Paris (1983-2008), adjoint au Maire de Paris chargé des relations extérieures (1983-2001), et Conseiller régional d'Île-de-France (1986-2004), second vice-président chargé des affaires internationales et européennes (1986-1998). Il est élu sénateur de Paris le 28 septembre 1986 puis réélu le 24 septembre 1995, membre de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées, rapporteur du Budget de La Défense (1986-2004) , et président de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (1986-2004).

En 2006, il devient membre du comité d'honneur du Mouvement initiative et liberté. Philippe de Gaulle est également président honoraire du comité d'honneur du syndicat étudiant UNI.

Carrière artistique

Dès 1946, il commence à exposer régulièrement aux salons de Bretagne et au Salon de la Marine où il obtient successivement la lettre de félicitations du ministre de la Marine (1946), la médaille de bronze du Salon de la Marine (1948), la médaille d'argent du Salon de la Marine (1950), la médaille d'or du Salon de la Marine(1952).

En 1952 le jury du Salon de la Marine lui attribue une commande de tapisserie pour le bar des officiers rue Royale (1952). Sa première exposition a lieu en 1952 à Brest.En 1956, le musée néocalédonien de Nouméa expose ses peintures.Il peint des panneaux décoratifs pour dix unités de la marine nationale (Panneau pour les porte-avions Clemenceau et Foch, les porte-hélicoptères Jeanne d'Arc, les avisos Victor Schœlcher et E.V. Henry). En 1962, il réalise un panneau intitulé Jean Bart pour l'appartement Flandres du paquebot France.

Après avoir dessiné le logo de la mythique Calypso, le navire de recherche océanographique du commandant Cousteau, il réalise et conçoit en 1989 l'épée en cristal pour l'entrée de ce dernier à l'Académie française.

Son œuvre est complétée par des affiches, des calendriers, des plaquettes (Vous serez marins (brochure Marine nationale) 1961), des dépliants, des cartes postales, des cartes de vœux, divers films d'instruction... pour la Marine nationale (Décor du cercle de Borda à l'École navale de Lanvéoc-Poulmic), les Phares et balises, la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM), la SNCF, Air France (Châteaux de France , onze panneaux pour les Boeing 707 Air France), et diverses compagnies aériennes, des Panneaux indélébiles sur toile : Un courtier maritime aux Indes au xviiie siècle (Société Socomet), les Messageries maritimes (Panneau décoratif Grand planisphère), la Compagnie maritime Worms (cargo Jumièges)...

Il illustre de nombreux livres (Jean Raynaud, Chefs de mer, 1950; A.E.N., Chansons Baille, 1952; Jean-François Navard, Les Fistots, 1954; Charles Maurel, S.O.S. patrons pêcheurs, 1956; Roger Coindreau, L'Argot Baille, 1957;Jacques Mordal, La Marine en bois, Paris, Fayard, 1975; Roger Vercken, Marine et bons usages, 1986) ainsi que de nombreux articles pour le Figaro, la Revue maritime, l'Echo du marin, Cols bleus....

Il est aussi l'auteur de tapisseries (Antilles, 1948, L'Astrolabe et la Zélée, 1949, L'Homme en jaune, 1958, Fête sur la Sophie, 1962, Antarctique, 1966, Venise, 1970, Moscou, 1972, Chasse à la baleine, 1975, Le port de Rochefort, 1984, Attaque du Gloria Regis par un chébec, 1986, Quadriptyque Extrême-Orient, les quatre saisons : Yang-Tsé Kiang (automne), 1988, Japon (printemps), 1990, Baie d'Along (été), 1992, Pékin (hiver), 1994.

En 1966, il est invité d'honneur du Salon des armées. Il est admis en 1973 à la Société nationale des beaux-arts en qualité de sociétaire. Il conçoit le monument aux morts de l'AEN à l'École navale en 1981. En 1984, il conçoit la crypte du souvenir à l’École navale. En 1985, il devient membre de la Commission supérieure des monuments historiques et membre du comité culturel de la commission française de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture. En 1987, il conçoit des panneaux décoratifs pour le bureau du ministre de la Défense nationale, du ministre des Anciens combattants et victimes de guerre, du chef d'État-Major des Armées, du chef d'État-Major de la Marine, du chef d'État-Major de l'Armée de l'air, du chef d'État-Major de l'Armée de terre et du chef d'État-Major particulier du président de la République. Une rétrospective lui est consacrée en 1988 au Crédit mutuel de Bretagne. Il est président de la Société nationale des beaux-arts entre 1988 et 19909. Une rétrospective lui est consacré au Musée national de la Marine en 2001-2002.

Il devient peintre agréé au corps des Peintres officiels de la Marine en 1954, peintre titulaire dans le corps des Peintres Officiels de la Marine en 1966, président du jury du Salon de la Marine (1972-1982), président de l'association des Peintres officiels de la Marine (1968-1988).

Associations et Sociétés Savantes

Il est élu membre de la Société de géographie (1973), de la Société des explorateurs français (1973). Il est élu correspondant (1973) puis membre de l’Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux (1976), de la Société nationale académique de Cherbourg (1976), de l’Académie des belles-lettres, sciences et arts de La Rochelle (1976), de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen (1976), de l’Académie de Marseille (1977), de l’Académie du Var (1977), de l’Académie de marine (1977, trésorier 1979-1982, secretaire perpétuel adjoint 1982-1984, secrétaire perpétuel 1984-1998, vice-président 1998-2000, président 2000-2002), du Bureau des longitudes (1978). Il est élu correspondant (1976) puis membre de l’Académie des sciences d’outre-mer (1978, vice-président 1986-1988, président 1988-1990), de l’Académie royale des sciences navales de Suède (1979), de l'Académia de Marinha du Portugal (1979), et de l'Académie des sciences (1980). Il est élu membre de l'Association des écrivains combattants (1980). Il est membre fondateur de l’Académie de l’air et de l’espace (1983, vice-président de 1987 à 1991, président de 1991 à 1995).

Il est administrateur du Musée national de la Marine de Paris (1971-1979), de la Caisse nationale militaire de sécurité sociale, de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, de l’Institution de gestion sociale des armées (1971-1982), du CNEXO (1977-1984) devenu Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (1984-1987), de la Fondation Albert Ier, Prince de Monaco (1977-1983), et de la Fédération nationale du Crédit maritime (1983-1986). Il est président du conseil d'administration du Musée national de la Marine de Paris (1979-1998), du Comité de documentation historique de la marine (1980-2000), de la Commission française d’histoire maritime (1981-2000), de l'Association des amis du Musée de la mer pour l'Atlantique (1982-2000), de l’Association des anciens élèves de l’École navale (1983-1987, 1989-1993), de l'Institut français de navigation (1984-1996)9, de la Fondation Albert Ier, prince de Monaco (1983-1999), de la Société nationale de sauvetage en mer (1984-1996), du Yacht Club de France (1986-1996), de la Société française d'histoire militaire (2000-2004).

Vie privée
Tombe de Henriette de Gaulle au cimetière de Colombey-les-Deux-Églises.

Le 30 décembre 1947, Philippe de Gaulle épouse à Poncin (Ain) Henriette de Montalembert de Cers (1929-2014), filleule du comte de Paris. Le mariage religieux est béni par l'amiral Georges Thierry d'Argenlieu (en religion : père Louis de la Trinité, carme déchaux) en la chapelle du Château d'Épierre (Ain) à Cerdon le 31 décembre 1947. Son épouse appartient à la famille de Montalembert. L'amiral de Gaulle dit d'elle : « Elle est le contraire de ces femmes sophistiquées et artificielles dont le genre ne me séduit guère ».

Le couple a eu quatre fils, et en novembre 2020, six petits-enfants et deux arrière-petits-enfants :

  • Charles Roger René Jacques de Gaulle (Dijon, 25 septembre 1948), avocat d'affaires, d'abord parlementaire européen sous les étiquettes UDF et RPR, il rejoint en mai 1999 le Front national ;
  • Yves Michel Louis Henri de Gaulle (Rabat au Maroc, 1er septembre 1951), énarque, secrétaire général de GDF-SUEZ, conseiller d'État ;
  • Jean Philippe Olivier Pierre de Gaulle (Bourg-en-Bresse, 13 juin 1953), ancien député des Deux-Sèvres et de Paris (1986-2007, démissionnaire), il est nommé conseiller-maître à la Cour des comptes ;
  • Pierre Louis Charles François de Gaulle (Suresnes, 20 juin 1963).

Philippe de Gaulle fête son 100e anniversaire le 28 décembre 2021.

Bien que Philippe de Gaulle ait rejoint son père dès le lendemain de son célèbre appel, le 19 juin, sans d'ailleurs avoir entendu celui-ci, il ne sera jamais nommé membre de l'ordre de la Libération et c'est Hubert Germain décédé en octobre 2021, qui sera considéré par l'Histoire comme le dernier représentant des compagnons de la Libération.

Mémoires

Philippe de Gaulle est l'auteur de Mémoires accessoires (2001) et d'un ouvrage intitulé De Gaulle, mon père, publiés sous la forme d'entretiens avec l'écrivain Michel Tauriac. Cet ouvrage, qui a obtenu un succès en librairie et bénéficié d'une couverture médiatique, est sujet à de nombreuses controverses, notamment en ce qui concerne la guerre d'Algérie. Philippe de Gaulle a ainsi été condamné le 23 mars 2006 par la cour d'appel de Montpellier à verser un euro de dommages et intérêts ainsi que 1 500 euros de frais de justice à chacun des trois harkis plaignants, pour « diffamation envers des agents de l'autorité publique ». Il avait en effet écrit : « Et puis, tout le monde ne voulait pas partir comme ces 100 000 harkis qui ont rejoint l'armée algérienne ». La cour a estimé qu'il insinuait par là que les harkis assassinés étaient morts par leur propre faute ou leur erreur de choix. Dans un arrêt du 29 janvier 2008, la Cour de cassation a annulé cette condamnation au motif que « les propos en cause ne visaient pas des personnes formant un groupe suffisamment restreint pour qu'un soupçon plane sur chacun de ses membres et leur donne le droit de demander réparation du préjudice résultant de l'infraction dénoncée ».

D'autres passages ont été également dénoncés, tel celui attribuant les événements de Mai 68 à l'action occulte de services secrets étrangers. Lorsqu'il évoque les propos de son père sur le peuple juif, on a pu noter qu'il n'emploie pas une seule fois le terme de génocide.

Certains historiens ont également été critiques à son égard. Pierre Nora par exemple, a écrit que l'amiral avait « maréchalisé » et « pétainisé » le Général. Il a fait relever par Jean Lacouture et Éric Roussel les grossières erreurs factuelles commises par Philippe de Gaulle. Néanmoins, l'ouvrage De Gaulle, mon père reste une source d'informations de première main sur le Général, dans sa vie privée et dans sa vie politique. L'amiral relate les entretiens qu'il a eus avec son père tout au long de sa vie, tant sur les actions que celui-ci a menées que sur les raisons de ses prises de décisions. L'intérêt de ces entretiens entre père et fils est que, pour chacun d'eux, Philippe de Gaulle en retrace les lieux, les dates et les circonstances, souvent par rapport à ses permissions militaires ou ses congés, ne rencontrant généralement son père que quelques fois par an.

L'amiral a également été longtemps critiqué pour son refus d'ouvrir les archives de son père (à la disposition du public depuis peu). On peut y voir une certaine pudeur du fils envers son père qui n'aurait certainement pas voulu que fût livrée au public la totalité de ses archives telles que des brouillons de discours, les fréquentes notes de réflexion pesant le pour et le contre avant une prise de décision, ainsi que des documents d'ordre privé tels des actes notariés, de la correspondance privée. Il publia les Lettres, Notes et Carnets de Charles de Gaulle en 13 tomes entre 1980 et 1997.

Publications

  • De Gaulle, Paris, Plon, 1989, 173 p. (BNF 35064778).
  • Mémoires accessoires 1921-1946, Paris, Plon, 1997 (ISBN 225918586X).
  • Mémoires accessoires 1947-1979', Paris, Plon, 2000 (ISBN 2259185878).
  • Avec Michel Tauriac, Les Trente Jours qui ont fait de Gaulle, Paris, Economica, 2002 (ISBN 2-7178-4352-3).
  • Avec Michel Tauriac, De Gaulle, mon père, Paris, Plon, 2003-2004 (ISBN 226614331X et 2266143301)
    2 tomes, prix Honneur et Patrie 2004.
  • Avec Michel Tauriac, Mon père en images, Paris, Michel Lafon, 2006 (ISBN 2-7499-0547-8).
  • Mémoires, Bouquins, 2022 (ISBN 978-2-38292-182-1)
    Réédition de ses mémoires en un tome, retouchées.

Distinctions

  • Grand-croix de la Légion d'honneur Grand-croix de la Légion d'honneur (2005) ; Grand officier (1980); commandeur (1967); officier (1956); chevalier (1946).
  • Grand-croix de l'ordre national du Mérite Grand-croix de l'ordre national du Mérite (1984).
  • Commandeur de l'ordre du Mérite maritime‎ Commandeur de l'ordre du Mérite maritime.
  • Ruban de la croix de guerre 1939-1945.PNG Croix de guerre 1939-1945 avec trois citations.
  • Médaille de l'Aéronautique Médaille de l'Aéronautique.
  • Ordre de la Guerre patriotique Ordre de la Guerre patriotique (URSS) 1re classe en 1985, pour les 40 ans de la Victoire (distinction qu'il partage, dans la même promotion, avec Henri Rol-Tanguy et de nombreuses personnalités communistes du comité parisien de la Libération).
  • Lauréat du Prix d'Académie de l’Académie française (1988).
  • Lauréat du prix Louis-Marin (1998).
  • Lauréat du Prix Honneur et Patrie 2004.
  • Lauréat du prix Saint-Simon 2004.
  • Une plaque rappelant sa participation à la libération du palais Bourbon en 1944 est apposée dans un salon de l'hôtel de Lassay le 27 novembre 2019.

Le général de Gaulle n'a jamais fait son fils compagnon de la Libération, sans doute par refus de prêter le flanc à d'éventuelles accusations de népotisme. Philippe de Gaulle ne se vit pourtant même pas remettre la médaille de la Résistance, son père lui ayant dit incidemment qu'au comité chargé de l'attribution de cette distinction : « On ne t'a pas proposé ».

Notes et références

  1. ↑ Michel Tauriac, De Gaulle avant de Gaulle – La construction d'un homme, Paris, Plon, 2013, 471 p.chap. 16.
  2. ↑ Philippe de Gaulle, De Gaulle mon père, Plon, 2004.
  3. ↑ François-Guillaume Lorrain, « L’amiral de Gaulle souffle ses cent bougies » [archive], sur Le point, 28 décembre 2021
  4. ↑ Le Figaro avec AFP, « Décès de l'un des trois derniers compagnons de la Libération, Pierre Simonet » [archive], sur Le Figaro.fr, 5 novembre 2020 (consulté le 6 novembre 2020).
  5. ↑ Philippe-Jean Catinchi, « L’ancien résistant Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin pendant la seconde guerre mondiale, est mort » [archive], sur lemonde.fr, 20 novembre 2020 (consulté le 20 novembre 2020).
  6. ↑ « histoire de l’École navale des Forces navales françaises libres » [archive], sur École navale (consulté le 2 octobre 2017).
  7. ↑ « régiment blindé de fusiliers marins » [archive], sur rbfm-leclerc.com (consulté le 2 octobre 2017).
  8. ↑ Stéphane Hoffmann, « Sept morts oubliés. Un épisode peu connu de la guerre 39-45 », Le Figaro Magazine, semaine du 15 novembre 2019, p. 106.
  9. ↑ Revenir plus haut en :a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo bp bq br bs bt bu bv bw et bx « Ecole Navale / Espace tradition / Officiers célèbres » [archive], sur ecole.nav.traditions.free.fr (consulté le 10 septembre 2021)
  10. ↑ U.S. Navy Pre-Flight School, Chapel Hill, N.C.
  11. ↑ « flottille 6 F » [archive], sur enpa-capmatifou.org (consulté le 22 mars 2020).
  12. ↑ « Flotille 6F » [archive], sur netmarine (consulté le 13 septembre 2021)
  13. ↑ Revenir plus haut en :a et b Joseph Valynseele en collaboration avec Nicole Dreneau (préf. Alain Peyrefitte), La Parentèle de Charles et Yvonne de Gaulle, éditions de L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, 1990.
  14. ↑ « présentation de l'union-inter-universitaire pour la rentrée 2011 » [archive], sur slideshare.net (consulté le 31 décembre 2022).
  15. ↑ Jean-Noël Marchand, Dictionnaire des peintres français de la mer et de la Marine, Paris, Arts et Marine, 1997, p. 24
  16. ↑ Gaël Hautemulle, « La mer inspire les peintres officiels de la Marine », Ouest-Franceno 23265,‎ 11 décembre 2020, Mer (ISSN 0999-2138, lire en ligne [archive], consulté le 30 décembre 2022)
  17. ↑ « Carnet de l'Association », Revue de la France libreno 5,‎ février 1948, p. 29.
  18. ↑ Caroline Pigozzi, « De Gaulle : Le dernier adieu de son fils » [archive], sur parismatch.com, 7 novembre 2020.
  19. ↑ 53 membres de la famille de Gaulle rédigeront un article dans Le Monde intitulé « Non », sous l'impulsion de Rémi de Gaulle.
  20. ↑ Décret du 15 septembre 2016 portant nomination d'un conseiller d'État en service extraordinaire [archive].
  21. ↑ Revenir plus haut en :a et b Fraçous Guillaume Lorrain, « L’amiral de Gaulle souffle ses cent bougies », Le Point,‎ 28 décembre 2021 (lire en ligne [archive])
  22. ↑ Cour de cassation, criminelle, Chambre criminelle, 29 janvier 2008, 06-86.474, Publié au bulletin, 29 janvier 2008 (lire en ligne [archive]).
  23. ↑ « Dossier : Qui était Charles de Gaulle ? », Le Débat,‎ 2005 (lire en ligne [archive]).
  24. ↑ Google Livre "L'Accord secret de Baden-Baden Comment de Gaulle et les Soviétiques ont mis fin à mai 68" de Henri-Christian Giraud [archive], consulté le 16 décembre 2020
  25. ↑ « Prix d’académie » [archive], sur académie-française.fr (consulté le 2 octobre 2017).
  26. ↑ « Prix M. et Mme Louis-Marin 1998 pour les Mémoires accessoires de l’Amiral Philippe de Gaulle » [archive], sur www.lesecrivainscombattants.fr (consulté le 5 avril 2018).
  27. ↑ « Prix honneur et patrie » [archive], sur Jacques Chiracasso.fr (consulté le 2 octobre 2017).
  28. ↑ « Lauréats du prix Saint Simon » [archive], sur saint-simon-la-ferte-vidame.fr (consulté le 15 février 2018).
  29. ↑ Solenn de Royer, « L'amiral de Gaulle enfin honoré à l'Assemblée nationale » [archive], sur lemonde.fr, 26 novembre 2019 (consulté le 26 novembre 2019).
  30. ↑ « Son père, Jacques Chirac, la Libération : Philippe de Gaulle "se souvient" » [archive], sur parismatch.com, 24 novembre 2019 : « Quelques jours après que mon père a clôturé l'Ordre, en 1946, décernant 1 061 croix et réservant une médaille à Churchill, il m'a confié : "Je ne peux pas te décerner une décoration de l'Ordre que j'ai créé. Tout le monde sait que tu es le premier des compagnons." »
  31. ↑ Philippe de Gaulle, Mémoires accessoires (1947-1979), Paris, Plon, 2000, 329 p. (ISBN 2-259-18587-8, lire en ligne [archive])p. 37.

    « Naturellement, je ne pouvais pas, toi mon fils, te faire compagnon de la Libération. Sinon à titre posthume ou si tu étais revenu gravement mutilé, et encore ! D'ailleurs, j'ai nommé un conseil de l'Ordre qui ne me l'a pas proposé et maintenant c'est terminé… sauf pour la Croix qu'on réserve à Churchill. »

Bibliographie

Sur Charles de Gaulle
Éditeur scientifique
  • Œuvres complètes de Charles de Gaulle, en 21 volumes, Paris, plon 1971-1972.
    • DISCOURS ET MESSAGES : 1) - pendant la guerre juin 1940- janvier 1946 - tome 2 - dans l'attente (février 1946- avril 1958) - tome 3 - avec le renouveau (mai 1958- juillet 1962) - tome 4 - pour l'effort (aout 1962- décembre 1965) - tome 5 - vers le terme (janvier 1966 - avril 1969) - cette édition illustrée comprend le texte intégral des discours et messages, 1971.
    • Les voix de la liberté :1) dans la nuit- 2) le monde en feu - 3) la fin du commencement - 4) la forteresse Europe- 5) la bataille de France, 1971.
    • Œuvres : La discorde chez l'ennemi, Le fil de l'épée, Vers l'armée de métier, La France et son armée, Mémoires de guerre (le salut, l'appel, l'unité), 1972.
    • Chronologie de sa vie 1890-1970, Dictionnaire commenté de son œuvre en 2 volumes, Mémoires d'espoir (le renouveau l'effort), Études et correspondance 1908-1946, Film d'une vie (535 photos noir et blanc), 1972.
    • Coffret de 12 disques 33 tours des discours de Charles de Gaulle, 1971.
  • Lettres, Notes et Carnets de Charles de Gaulle :
    • Tome 1 : 1905-1918, Plon, 1980 (ISBN 2-259-00647-7).
    • Tome 2 : 1919-juin 1940, Plon, 1980 (ISBN 2-259-00648-5).
    • Tome 3 : juin 1940-juillet 1941, Plon, 1981 (BNF 36255731).
    • Tome 4 : juillet 1941-mai 1943, Plon, 1982 (ISBN 2-259-00920-4).
    • Tome 5 : juin 1943-mai 1945, Plon, 1983 (ISBN 2-259-01083-0).
    • Tome 6 : mai 1945-juin 1951, Plon, 1984 (ISBN 2-259-01184-5).
    • Tome 7 : juin 1951-mai 1958, Plon, 1985 (ISBN 2-259-01306-6).
    • Tome 8 : juin 1958-décembre 1960, Plon, 1985 (ISBN 2-259-01409-7).
    • Tome 9 : janvier 1961-décembre 1963, Plon, 1986 (ISBN 2-259-01447-X).
    • Tome 10 : janvier 1964-juin 1966, Plon, 1986 (ISBN 2-259-01581-6).
    • Tome 11 : juillet 1966-avril 1969, Plon, 1987 (BNF 36256658).
    • Tome 12 : mai 1969-novembre 1970, Plon, 1988 (ISBN 2-259-01820-3).
    • Tome 13 : Compléments de 1924 à 1970, Plon, 1997 (ISBN 2-259-18808-7).
  • Charles de Gaulle (préf. Philippe de Gaulle), Le Fil de l'épée et autres récits, Paris, Plon, 1990, 813 p. (ISBN 2-259-02397-5). Contient Vers l'armée de métier, La France et son armée, La discorde chez l'ennemi, trois études, le mémorandum et divers articles.
  • Charles de Gaulle, Mémoires d'espoir, Paris, Plon, 1994, 1163 p. (ISBN 2-259-00098-3) suivi d'un choix d'Allocutions et de Messages sur la IVe et la Ve République (1946-1969) réalisé par Philippe de Gaulle.
  • Charles de Gaulle (préf. Philippe de Gaulle), Mémoires, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 2000, 1505 p. (ISBN 2-07-011583-6 et 978-2070115839) en collaboration avec Jean-Louis Crémieux-Brilhac, Jean-Luc Barré et Marius-François Guyard, pour l'établissement de cette édition des Mémoires de guerre présentée, établie, anotée avec une chronologie et un relevé des variantes.
  • Charles de Gaulle (choix de discours prononcés entre 1944 et 1969), Discours d'état, Paris, Perrin, 2010, 215 p. (ISBN 978-2-262-03289-0).
  • Charles de Gaulle (préf. Jean-Luc Barré, réédition en 3 volumes des 13 volumes), Lettres, notes et carnets, Paris, Plon, coll. « Bouquins », 2010 (BNF 42299395).
  • Charles de Gaulle (préf. Philippe De Gaulle, avec une présentation conjointe avec Hervé Gaymard), Le Fil de l'épée, Paris, Perrin, 2010, 177 p. (ISBN 978-2-262-03383-5).
  • Charles de Gaulle (préf. Philippe de Gaulle, suivi de l'histoire des troupes du levant avec une présentation conjointe avec Hervé Gaymard), La France et son armée, Paris, Perrin, 2011, 374 p. (ISBN 978-2-262-03382-8).
Avant-propos, préfaces, introductions et postfaces
  • Luc-Marie Bayle (capitaine de frégate), Les corvettes FNFL, de leur armement au 2 août 1943, Paris, Service Historique de la Marine, 1966.
  • La 23e flottille de MTB FNFL 1942-1945, Témoignages des officiers, Paris, Service Historique de la Marine, 1967.
  • Les opérations des sous-marins FNFL, Paris, Service Historique de la Marine, 1967.
  • Marie-Agnès Cailliau-de Gaulle, Souvenirs personnels, Les Plans-sur-Bex (Suisse)/Paris, Plon, 1970, 131 p. (ISBN 2-84573-516-2).
  • Edmond Michelet, La querelle de la fidélité. Peut-on être gaulliste aujourd'hui ? Entretiens avec Alain Duhamel, Fayard, 1971
  • Muracciole (capitaine de frégate), Historique de la combattante, torpilleur des FNFL, Paris, Service Historique de la Marine, 1971.
  • Christian Fouchet, Au service du général de Gaulle, Plon, 1971.
  • Léon Noël, Comprendre de Gaulle, Plon, 1972
  • Christian Fouchet, Les lauriers sont coupés, Plon, 1973.
  • Jacques Vendroux , Cette chance que j'ai eue (1920-1957), Plon, 1974
  • Jacques Vendroux , Ces grandes années que j'ai connues (1958-1970), Plon, 1975.
  • Pierre Lefranc (en collaboration avec Paul Durand), De Gaulle raconté aux jeunes, Éditions G.P, 1975.
  • Pierre Messmer, Le Service militaire, débat avec Jean-Pierre Chevènement, Balland, 1977.
  • Michel Debré, Le Gaullisme, avec Jean-Louis Debré, Plon (Tribune libre), Paris, 1977. (ISBN 2259003303).
  • Jacques Debû-Bridel, De Gaulle et le CNR, Éditions France-Empire, 1978.
  • François Flohic (préf. Philippe de Gaulle), Souvenirs d'outre-Gaulle, Paris, Plon, 1979, 245 p.
  • Olivier Guichard, Mon Général, 1980.
  • Maurice Schumann, Un certain 18 juin, Plon, 1980 – Prix Aujourd'hui.
  • Jacques Vendroux , Yvonne de Gaulle, ma sœur, Plon, 1980.
  • Louis Joxe, Victoires sur la nuit mémoires 1940-1946, Flammarion, 1981 (ISBN 2-08-064390-8).
  • Michel Bertrand, La Marine française au combat : 1939-1945, Paris-Limoges, Charles-Lavauzelle, 1982.
  • Michel Debré, Trois républiques pour une France. Mémoires, avec la collaboration d'Odile Rudelle, Albin Michel, Paris, 1984–1994, 5 volumes : Combattre, 1984 (ISBN 2226020667) ; Agir (1946–1958), 1988 (ISBN 2226033424) ; Gouverner (1958-1962), 1988 (ISBN 2226034579) ; Gouverner autrement (1962–1970), 1993 (ISBN 2226062076) ; Combattre toujours (1969-1993), 1994 (ISBN 2226075364).
  • Pierre Messmer, Les Écrits militaires de Charles de Gaulle : essai d'analyse thématique, Presses universitaires de France, 1985 (en collaboration avec le professeur Alain Larcan).
  • François Flohic, Ni chagrin ni pitié, Paris, Plon, 1985, 263 p. (ISBN 2-259-01289-2)
  • Gaston Palewski, Mémoires d'action 1924-1974, Paris, Plon, 1988.
  • Pierre Louis Blanc, Charles de Gaulle au soir de sa vie, Fayard, 1990.
  • Vice-amiral d'escadre Émile Chaline et Capitaine de vaisseau Pierre Santarelli (tomes 1 à 5), Historique des Forces Navales Françaises Libres, Service historique de la marine :
    • Historique des Forces Navales Françaises Librest. 1 : du 18 juin 1940 au 3 août 1943, 1990, 461 p. (ISBN 978-2-11-096321-5).
    • Historique des Forces Navales Françaises Librest. 2 : du 4 août 1943 au 7 mai 1945, 1992, 580 p.
    • Historique des Forces Navales Françaises Librest. 3 : annuaire biographique des officiers des FNFL, 1999, 640 p. (ISBN 2-11-091147-8 (édité erroné), BNF 37087891).
    • Historique des Forces Navales Françaises Librest. 4 : la flotte française de la liberté ; la marine marchande FNFL, Vincennes, Service historique de la marine, 2002, 221 p. (ISBN 2-11-091851-9).
    • Capitaine de vaisseau André Bouchi-Lamontagne, Historique des Forces Navales Françaises Librest. 5 : mémorial, juin 2006, 1094 p. (ISBN 978-2-11-128957-4).
  • Pierre Lefranc, De Gaulle, un portrait, Flammarion, 1992.
  • Michel Debré, Entretiens avec le général de Gaulle (1961-1969), Albin Michel, Paris, 1993 (ISBN 2226066608)
  • Pierre Lefranc, De Gaulle à Londres, éditions Lie Ernest Flam, 1993.
  • Pierre Lefranc, La tentation de Charles de Gaulle, Flammarion, 1993.
  • Pierre Messmer, Après tant de batailles : mémoires, Albin Michel, 1992 (18e Prix Fondation Pierre-Lafue 1994).
  • Bernard Le Marec, Les Français libres et leurs emblèmes, éditions Lavauzelle, 1994.
  • Philippe Ragueneau et Guy Sabatier, Dictionnaire du Gaullisme, Albin Michel, 1994.
  • Jean Meyer et Martine AcerraHistoire de la marine française : des origines à nos jours, Rennes, éditions Ouest-France, 1994, 428 p. (ISBN 2-7373-1129-2).
  • Alain Peyrefitte (3 volumes), C'était de gaulle, éditions de Fallois-Fayard, 1994-2000.
  • Pierre Maillard, De Gaulle et l'Europe : entre la nation et Maastricht, Paris, Tallandier, coll. « Approches » (no 22), 1995, 370 p. (ISBN 2-235-02131-X) (notice BnF no FRBNF37481255).
  • Claude Guy, En écoutant de Gaulle. Journal. 1946-1949, Paris, Grasset, 1996.
  • Jean-Louis Crémieux-Brilhac, La France libre : de l'appel du 18 juin à la Libération, Paris, Gallimard, 1996, 969 p. (ISBN 978-2-07-073032-2, OCLC 36062471).
  • Jacques Foccart, Journal de l'Élysée, Fayard-Jeune Afrique :
    • Tome 1 : Tous les soirs avec De Gaulle (1965-1967), 1997, 813 p. (ISBN 2-213-59565-8).
    • Tome 2 : Le Général en mai (1968-1969), 1998 (ISBN 2-213-60057-0).
    • Tome 3 : Dans les bottes du Général, (1969-1971), 1999, 787 p. (ISBN 2-213-60316-2).
    • Tome 4 : La France pompidolienne (1971-1972), 2000 (ISBN 2-213-60580-7).
    • Tome 5 : La fin du gaullisme (1973-1974), 2001.
  • Jacques Chaban-Delmas, Mémoires pour Demain, Flammarion, 1997.
  • Olivier Guichard, Vingt ans en 40, Fayard, 1999.
  • Jacques Baumel, Résister, Histoire secrète des années d'occupation, éditions Albin Michel, 1999.
  • Geneviève de Gaulle Anthonioz, La Traversée de la nuit, Seuil, coll. « Points », 2001 (ISBN 978-2-02-051654-9).
  • Pierre De Morsier, Les corvettes de la France libre, Paris, Service Historique de la Marine, 2002.
  • Michel Vergé-Franceschi (dir.), Dictionnaire d’Histoire maritime, Paris, éditions Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2002, 1508 p. (ISBN 2-221-08751-8 et 2-221-09744-0).
  • Jean-Luc Barré (d'après les archives inédites de Charles de Gaulle), Devenir de Gaulle, Paris, Perrin, 2003, 432 p. (ISBN 2-262-01586-4).
  • Jacques Baumel, La Liberté guidait nos pas, Plon, 2004
  • Jacques Baumel (avec François Delpla), La Libération de la France, édition l'Archipel, 2004.
  • Pierre Louis Blanc, Valise Diplomatique, Éditions du Rocher, 2004.
  • Pierre Lefranc, D'une Résistance l'autre : 1940-1947, Éditions François-Xavier de Guibert-Œil, 2004.
  • Alain Larcan, De Gaulle : le soldat écrivain, Paris, Textuel, coll. « Passion », 2005, 191 p., 29 cm (ISBN 2-84597-115-X).
  • Jean Foyer, Sur les chemins du droit avec le Général : mémoires de ma vie politique — 1944-1988, avec la collaboration de Sabine Jansen, Fayard, 2006.
  • Claire Andrieu, Philippe Braud et Guillaume Piketty, Dictionnaire de Gaulle, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2006, 1265 p. (ISBN 2-221-10280-0).
  • Olivier Rochereau (dir.), Mémoire des Français libres : du souvenir des hommes à la mémoire d'un pays, Nouveau monde éditions, 2006, 321 p. (ISBN 2-84736-190-1).
  • Yves Guéna, De Gaulle, Gründ, coll. « Histoire sur le vif », 2007, 64 pages, illustrations couleurs, plus de 60 fac-similés (ISBN 978-2-7000-1696-3 et 2-7000-1696-3).
  • François Broche, Georges Caïtucoli et Jean-François Muracciole, La France au combat : de l'Appel du 18 juin à la victoire, Paris, Perrin & scérÉn (CNDP), 2007, 848 p. (ISBN 978-2-262-02530-4).
  • Pierre Lefranc, Avec de Gaulle, pendant et après : 1947-2005, Fayard, 2007.
  • Pierre Lefranc (en collaboration avec Geneviève Moll), Gouverner selon de Gaulle, Fayard, 2008.
  • Michel Tauriac (préf. Philippe de Gaulle), Vivre avec de Gaulle-Les derniers témoins racontent l'homme, Paris, Plon, 2008, 609 p. (ISBN 978-2-259-20721-8).
  • Michel Tauriac (préf. Philippe de Gaulle), Dictionnaire amoureux de De Gaulle, Paris, Plon, coll. « dictionnaire amoureux », 2010, 514 p. (ISBN 978-2-259-21040-9) .
  • Yves Guéna, Mémoires d'Outre-Gaulle, 2010.
  • François Flohic, De Gaulle intime : un aide de camp raconte, Paris, l'archipel, 2010, 156 p. (ISBN 978-2-8098-0385-3).
  • François Broche, Georges Caïtucoli et Jean-François Muracciole (dir.) ((avant-propos de Philippe de Gaulle, introduction de Max Gallo, et préface de Jean-Louis Crémieux-Brilhac, postface de Jean-François Sirinelli)), Dictionnaire de la France libre, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », juin 2010, XXV-1606 p. (ISBN 978-2-221-11202-1).
  • Pierre Louis Blanc, Retour à Colombey, Éditions Pierre Guillaume de Roux, 2011.
  • Alain BoulaireLa Marine française : De la Royale de Richelieu aux missions d'aujourd'hui, Quimper, éditions Palantines, 2011, 383 p. (ISBN 978-2-35678-056-0).
  • Michel Tauriac (préf. Philippe de Gaulle), De gaulle avant de gaulle : la construction d'un homme, Paris, Plon, 2012, 505 p. (ISBN 978-2-259-21657-9).
  • Patrick Harismendy et Erwan Le Gall (dir.), Pour une histoire de la France Libre, Presses Universitaires de Rennes, 2012.
  • Dominique Lormier, Histoire générale de la résistance française, La Geneytouse, éd. Lucien Souny, septembre 2012, 620 p. (ISBN 978-2-84886-383-2).
  • Étienne Taillemite, Dictionnaire des marins français, Paris, Tallandier, 2012 (ISBN 978-2-84734-008-2).
  • Rémi MonaqueUne histoire de la marine de guerre française, Paris, éditions Perrin, 2016, 526 p. (ISBN 978-2-262-03715-4).
Sur Philippe de Gaulle

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Dominique Frémy, Quid des présidents de la République-- et des candidats (Biographie), Paris, Robert Laffont, 1987, 717 p. (ISBN 978-2-221-05360-7).
  • Joseph Valynseele (en collaboration avec Nicole Dreneau), préface d'Alain Peyrefitte, La Parentèle de Charles et Yvonne de Gaulle, éditions de L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, 1990.
  • Christine Clerc, Les De Gaulle, une famille française, Nil éditions, 2000 (ISBN 2-84111-153-9).
  • Henri-Christian Giraud (dir.), Réplique à l'amiral de Gaulle, Paris-Monaco, Le Rocher, 2004 (ISBN 2-268-05131-5).
  • Jean Mauriac, Les erreurs de l'amiral de GaulleLe Monde, 28 mars 2004.
  • Pierre Nora (dir.), Du Général à l'AmiralLe Débat, mars-avril 2005.
  • Éric Roussel, Les étranges vérités de l'Amiral de GaulleLe Débat, mars-avril 2005.
  • Émile Chaline avec Pierre Santarelli, Historique des Forces navales françaises libres, 5 tomes, Service historique de la marine, 1990 à 2006.
  • Étienne Taillemite, Dictionnaire des marins français, Paris, Tallandier, 2002, 573 p. (ISBN 2-84734-008-4)

Voir aussi

Filmographie
  • 2005 : Le Grand Charles de Bernard Stora ; le rôle de Philippe de Gaulle est interprété par Paul de Launoy.
  • 2005 : De Gaulle intime, film-documentaire de René-Jean Bouyer avec les textes de Philippe de Gaulle et de Michel Tauriac et la voix de Jean Rochefort sur des images animées en noir et blanc et en couleur, images d'archives (BNF 40073213) [présentation en ligne [archive]].
  • 2008 : Adieu de Gaulle, adieu de Laurent Herbiet ; le rôle de Philippe de Gaulle est interprété par Georges Siatidis.
  • 2020 : De Gaulle de Gabriel Le Bomin ; le rôle de Philippe de Gaulle est interprété par Félix Back.
  • 2020 : De Gaulle, l'éclat et le secret de François Velle, scénario de Jacques Santamaria et de Patrice Duhamel ; le rôle de Philippe de Gaulle est interprété par Pierre Rochefort.
Discographie
  • 2005 : entretien de l'amiral de Gaulle par Michel Tauriac, enregistrement sonore, productions Frémeaux et associés, La Plaine Saint-Denis (BNF 40055202).
Articles connexes
  • Forces navales françaises libres
  • Histoire de la marine française
  • Charles de Gaulle, son père
  • Famille de Gaulle
  • Liste des sénateurs de Paris
Liens externes
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