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Vendée Militaire et Grand Ouest
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7 mai 2023

de Bénouville Pierre

 

Clic pour voir sa généalogie sur la ligne en dessous

 

Pierre de Bénouville

Pierre_de_Bénouville


Pierre de Bénouville en 1948.
Fonctions
Député français
23 juin 1988 – 1er avril 1993
(4 ans, 9 mois et 9 jours)
Circonscription 8e circonscription de Paris
Législature IXe (Cinquième République)
Successeur Jean de Gaulle
2 avril 1986 – 14 mai 1988
(2 ans, 1 mois et 12 jours)
Circonscription Paris
Législature VIIIe (Cinquième République)
15 juin 1970 – 1er avril 1986
(15 ans, 9 mois et 17 jours)
Circonscription 12e circonscription de Paris
Législature IVe, Ve, VIe et VIIe (Cinquième République)
Prédécesseur Pierre Bourgoin
30 novembre 1958 – 9 octobre 1962
(3 ans, 10 mois et 9 jours)
Circonscription 5e circonscription d'Ille-et-Vilaine
Législature Ire (Cinquième République)
17 juin 1951 – 1er décembre 1955
(4 ans, 5 mois et 14 jours)
Circonscription Ille-et-Vilaine
Législature IIe (Quatrième République)
Maire de La Richardais
10 mai 1953 – 28 mars 1965
(11 ans, 10 mois et 18 jours)
Biographie
Nom de naissance Pierre Émile Benouville
Date de naissance 8 août 1914
Lieu de naissance Amsterdam (Pays-Bas)
Date de décès 4 décembre 2001 (à 87 ans)
Lieu de décès Paris 17e (France)
Parti politique RPF (1951-1955)
UNR (1958-1962)
UDR-UDT (1970-1978)
RPR (1978-1993)
Profession Directeur de journal, éditeur

Pierre Bénouville, dit Pierre de Bénouville, né le 8 août 1914 à Amsterdam et mort le 4 décembre 2001 dans le 17e arrondissement de Paris, est un résistant, homme politique et écrivain français.

Biographie

Origines

Pierre de Bénouville est le fils de Jean Benouville (1er janvier 1880-29 mars 1947), inspecteur général de compagnie d'Assurances, et d'une mère alsacienne, Yvonne Schreyer (1886-1970). Son grand-père est l'architecte Pierre Louis Benouville et son arrière-grand-père le peintre paysagiste Jean-Achille Benouville.

Pierre Benouville (de son nom de naissance) fut connu sous le nom de Pierre Guillain de Bénouville (du patronyme d'une famille de la noblesse normande dont il disait descendre) à partir de 1930, puis le plus souvent désigné comme Pierre de Bénouville. Sa carte nationale d'identité, son livret de famille ainsi que son acte de décès furent libellés au nom de Pierre de Bénouville, tandis que sa nomination au grade de général de brigade, publiée au Journal officiel en 1953, le fut au nom de Pierre Guillain de Bénouville, bien qu'aucun changement de nom n'ait été prononcé ni qu'aucun lien ne soit prouvé entre lui et l'ancienne famille Guillain de Bénouville.

Jeunesse

Il intègre en même temps que son frère le collège privé d'enseignement catholique Saint-Paul d'Angoulême, où il se lie d'amitié avec François Mitterrand, avec lequel il sert la messe, et son frère aîné, Robert Mitterrand. Il en est exclu pour non-respect des règles.

Pendant sa jeunesse, étudiant à la faculté de lettres de Paris, il milite aux Camelots du roi (17e section), organisation de jeunesse de l'Action française (AF), un temps proche de La Cagoule, et participe aux émeutes du 6 février 1934. Dans les années 1935-1937, il fréquente les chefs de La Cagoule, ainsi que ses amis André Bettencourt, Claude Roy et François Mitterrand. Durant l'été de 1936, Pierre de Benouville combat en Espagne aux côtés des Requetés carlistes, avec son ami Michel de Camaret, futur compagnon de la Libération, qui sera plus tard député européen du Front national. Au cours de l'année 1937, il publie des articles et tient une chronique de critique littéraire dans Le Pays libre, journal antisémite. Il rompt avec l'Action française à la fin 1938, car elle se déclare favorable aux accords de Munich, alors que, nationaliste intransigeant, il y est hostile. La « tiédeur révolutionnaire » de l’Action française, dans les années qui suivent la crise du 6 février 1934, constitue un autre facteur pouvant expliquer cette rupture.

Résistance

Mobilisé en 1939 pendant la Seconde Guerre mondiale, il est fait prisonnier par les troupes allemandes. Il s'évade en décembre 1940 et rejoint Villefranche-sur-Mer où il est recueilli avec ses compagnons par son ami l'écrivain René Béhaine.

Maréchaliste dans un premier temps, il est rédacteur en chef du journal L'Alerte fondé par Léon Bailby jusqu'en novembre 1941. En janvier 1941, il tente de partir clandestinement pour l'Afrique du Nord, espérant rejoindre les Forces françaises libres, mais il est fait prisonnier par la police de Vichy. Renvoyé devant le tribunal militaire de Toulon, il est acquitté pendant l'été 1941. Il rejoint alors la Résistance française, d'abord le mouvement Radio-Patrie rattaché au SOE (Special Operations Executive), puis il s'engage complètement à Combat aux côtés d'Henri Frenay et au Noyautage des administrations publiques.

À la fin de 1942, il retrouve son ami François Mitterrand, et l'aide à tisser son réseau de résistance.

Peu après, lors de la création des Mouvements unis de la Résistance (MUR), il devient membre de leur comité directeur.

Selon Daniel Cordier, il porte une lourde responsabilité en envoyant René Hardy — dont il sait pourtant qu'il a été récemment arrêté par la Gestapo — à la réunion de Caluire qui aboutit à l'arrestation de Jean Moulin et de ses camarades le 21 juin 1943. En parallèle, sous le pseudonyme Barrès (en référence à Maurice Barrès), il s'implique personnellement dans la mise en place des contacts entre les mouvements de Résistance intérieure, la France libre, et les services secrets alliés (SOE, OSS, BCRA), franchissant ainsi cinquante-trois fois la frontière franco-suisse.

En avril 1944, il rejoint Alger via l'Espagne, pour échapper à la Gestapo. De mai à juin 1944, il combat en Italie.

Son attitude pendant la Seconde Guerre mondiale lui vaut d'être fait Compagnon de la Libération, grand officier de l'ordre national de la Légion d'honneur, décoré de la croix de guerre 1939-1945, de la médaille de la Résistance française, de la croix de guerre belge et de l'Ordre de Léopold.

Dans le téléfilm Jean Moulin, une affaire française (2003), Pierre de Bénouville est accusé à demi-mot d'avoir « donné » Jean Moulin aux Allemands, par calcul politique. Notons, par ailleurs, et même si le cadre de l'interview, entièrement orchestré par Jacques Vergès, laisse beaucoup à désirer, que René Hardy, alors très malade à Melle, a formellement accusé Bénouville d'avoir toujours été informé de son rôle personnel dans l'arrestation de Jean Moulin. Mais Hardy se rétractera par écrit peu avant sa mort dans une lettre d'excuses à Bénouville, publiée depuis par Guy Perrier dans sa biographie de Bénouville.

Revenu à Alger où il dirige le bureau FFI au sein du GPRF, il est promu général de brigade à trente ans par le général de Gaulle.

Il est l'un des quatre généraux de brigade FFI, avec Jacques Chaban-Delmas (1915-2000), Maurice Chevance-Bertin (1910-1996) et Alfred Malleret-Joinville (1911-1960).

Fait Compagnon de la Libération, le général de Bénouville s'engage en politique dès la fin de la guerre aux côtés du général de Gaulle.

Après-guerre

Membre du Conseil de Direction du RPF en 1949 (il est chargé des questions relevant des Affaires Étrangères et de la Défense Nationale), député gaulliste d'Ille-et-Vilaine entre 1951 et 1956, et de 1958 à 1962, puis de l'ancienne douzième circonscription de Paris (devenue la huitième circonscription de Paris en 1988) entre 1970 et 1993.

Il a transgressé l’embargo décrété en 1967 par le général de Gaulle, sur les armes à destination des belligérants du Moyen-Orient, en fournissant des armes à Israël.

De 1965 à 1989, il préside l'Association des amis de La Varende.

Favorable à l'Algérie française, il est exclu de l'UNR et se présente sans succès aux élections législatives de 1968 dans la troisième circonscription des Alpes-Maritimes (Nice-ouest et une partie de son arrière-pays) avec le soutien de Progrès et démocratie moderne (centristes d'opposition au général de Gaulle). Dans sa profession de foi, il se présente également comme le candidat du « Mouvement démocrate unifié pour la défense de la République et la réconciliation nationale ». Il recueille autour de 12 000 voix et arrive en troisième position au premier (22,37 %) et au second tour (22,41 %) derrière le candidat républicain indépendant, vainqueur de l'élection, Fernand Icart, et le candidat communiste Virgile Pasquetti.

Il n'est réintégré dans la Majorité qu'en 1970 à la demande du président Pompidou, comme candidat à une élection législative partielle dans le 12e arrondissement de Paris, à la suite du décès du député UDR, le colonel Bourgoin.

En 1981, il soutient à l'Assemblée nationale la promesse du candidat socialiste d'amnistie et de réintégration des généraux rebelles de l'Algérie française.

En 1984, à l'Assemblée nationale, il défend l'attitude de François Mitterrand pendant la guerre, mis en cause par des députés de l'opposition comme François d'Aubert, Jacques Toubon ou Alain Madelin. L'ancien chef de Radio-Patrie déclare notamment que « Mitterrand était des nôtres ! ». Dix ans plus tard, alors que le passé de François Mitterrand est de nouveau mis en cause, Bénouville propose à François Mitterrand que des compagnons de la Libération signent un texte de soutien, mais le président refuse : il n'a pas, selon lui, à se justifier, du moins pas à ce point.

En 1988, il organise chez lui, à Paris, un mois avant l'élection présidentielle, une rencontre entre Jacques Chirac et le chef du Front national, Jean-Marie Le Pen pour discuter de l'entre-deux-tours.

Dans les années 1980, il est le président d’honneur de la Société Baudelaire, à l’occasion d’hommages officiels, rendus à Charles Baudelaire.

Pierre de Bénouville mène parallèlement une carrière dans le secteur privé comme administrateur de plusieurs sociétés, les éditions Robert Laffont, les établissements Gaumont et surtout la société Dassault-Bréguet. Il est directeur du journal Jours de France de 1954 à 1967, puis président-directeur général de la société éditrice.

Tombe au cimetière de Passy.

Ce catholique ne reniera jamais ses convictions royalistes de jeunesse, ainsi que le rappelle Guy Perrier, son biographe, auquel il se confiait peu de temps avant sa mort. Il est enterré au cimetière de Passy dans un caveau spécialement aménagé sur ses instructions pour lui et ses deux fidèles amis, anciens de la 17e section des Camelots du roi, Michel de Camaret, compagnon de la Libération et ancien député du Front national, et Jehan de Castellane dirigeant du Mouvement social révolutionnaire (MSR) sous l'Occupation.

Son frère aîné, François, arrêté pour faits de Résistance par la Gestapo en 1942, meurt en déportation en 1944 au camp de concentration de Neuengamme. Sa sœur Christiane avait épousé le général Jacques Hogard.

Détail des fonctions et des mandats

Mandats parlementaires
  • Député d'Ille-et-Vilaine entre 1951 et 1956 (scrutin proportionnel) et de la cinquième circonscription d'Ille-et-Vilaine de 1958 à 1962 ;
  • Député de l'ancienne douzième circonscription de Paris entre 1970 et 1986 ;
  • Député de la huitième circonscription de Paris de 1986 à 1993.
Mandats locaux
  • Maire de La Richardais (Ille-et-Vilaine) de 1953 à 1965
  • Conseiller de Paris de 1989 à 1995

Décorations

  • Legion Honneur GO ribbon.svg Grand officier de la Légion d'honneur
    • Commandeur du 28 septembre 1957
  • Ordre de la Liberation 2nd ribbon.svg Compagnon de la Libération (décret du 6 avril 1945)
  • Croix de Guerre 1939-1945 ribbon.svg Croix de guerre 1939-1945 (5 citations)
  • Medaille de la Resistance ribbon.svg Médaille de la Résistance
  • BEL Croix de Guerre 1944 ribbon.svg Croix de guerre belge 1940-1945 (Belgique)
  • Officer Ordre de Leopold.png Officier de l'Ordre de Léopold

Œuvres

  • Captivité et délivrance de l'esprit aux xixe ou du xxe siècle. Baudelaire le trop chrétien. Précédé d'une lettre de Charles Du Bos à l'auteur, et suivi d'une lettre de l'auteur à René Béhaine, Bernard Grasset, Paris, 1936, 221 p. (diverses rééditions)
  • Les Soirées d'Altkirch
  • Saint Louis ou le Printemps de la France, éditions Didier, coll. « Les Grands serviteurs », Toulouse, 1943, 247 p.
  • Le Sacrifice du matin, La Palatine, Genève, 1945, Robert Laffont, Paris, 1946, 610 p et Éditions J'ai lu Leur aventure N°A162/163/164.

L’Académie française lui décerne le prix Général-Muteau en 1946 pour l'ensemble de son œuvre.

  • Vie exemplaire du commandant d'Estienne d'Orves : papiers, carnets et lettres, précédés d'une préface de Guillain de Bénouville, Plon, Paris, 1950, XIII-335 p. (diverses rééditions)
  • Avant que la nuit ne vienne (entretiens avec Laure Adler), Bernard Grasset, Paris, 2002, 359 p. (ISBN 2-246-59921-0)

Pour approfondir

Bibliographie
  • Sébastien Le Fol, En bande organisée : Mitterrand, le pacte secret, Paris, Albin Michel, 2023, 288 p. (ISBN 978-2-22647-387-5).
  • (en) Valerie DeaconThe Extreme Right in the French Resistance : Members of the Cagoule and Corvignolles in the Second World War, Baton Rouge, Louisiana State University Press, 2016, 240 p. (ISBN 978-0-8071-6362-7, présentation en ligne [archive])[présentation en ligne [archive]].
  • Bénédicte Vergez-ChaignonLes vichysto-résistants de 1940 à nos jours, Paris, Perrin, 2008, 775 p. (ISBN 978-2-262-01993-8).
    Édition revue et augmentée : Bénédicte Vergez-ChaignonLes vichysto-résistants, Paris, Perrin, coll. « Tempus » (no 655), 2016, 910 p., poche (ISBN 978-2-262-06662-8).
Articles connexes
  • Un paradoxe français
  • Action française
Liens externes
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    • WorldCat
  • Fiche « Pierre de Bénouville » [archive] sur le site de l'Ordre de la Libération
  • Notice biographique [archive] sur le site de l'Assemblée nationale

Notes et références

  1. ↑ Joseph Valynseele et Denis Grando pages 38-39A la découverte de leurs racines L'intermédiaire des chercheurs et des curieux (ISBN 2-908-003-03-1).
  2. ↑ Et non 1936, pour la signature de son ouvrage Baudelaire le trop chrétien, comme on l'a souvent dit. C'est ce que montre Guy Perrier dans sa biographie de Pierre de Bénouville parue en 2005.
  3. ↑ Pierre-Marie Dioudonnat dans son Encyclopédie de la fausse noblesse et de la noblesse d'apparence, notice « Bénouville (Guillain de) », et Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, lequel ne mentionne, dans ses différentes éditions, aucune famille de Bénouville ni Guillain de Bénouville parmi celles de la noblesse française subsistante.
  4. ↑ Catherine Nay, Le Noir et le Rouge, ou l'histoire d'une ambition, Grasset, 1984, p. 46 :« Tandis que le général de Bénouville, qui servait la messe avec lui, note : c'était un garçon très pieux, avide de connaître et d'aimer. »
  5. ↑ Mitterrand, Robert, 1915-Frère de quelqu'un, R. Laffont, 1988 (ISBN 2-221-04762-1 et 978-2-221-04762-0, OCLC 19127379, lire en ligne [archive]).
  6. ↑ Le Pays libre, 20 février 1937, article de Guillain de Bénouville en une du journal ayant pour titre : « M. Blum et l'Exposition, ou la lâcheté, le mensonge et la trahison ».
  7. ↑ Olivier Forcade« Les milieux militaires et l’Action française de 1898 à 1940 », dans L’Action française : culture, société, politique, Presses universitaires du Septentrion, coll. « Histoire et civilisations », 10 mai 2019 (ISBN 978-2-7574-2123-9, lire en ligne [archive])p. 121–140.
  8. ↑ Robert Belot, « Le sort des juifs dans les discours et les pratiques du mouvement Combat », Les Cahiers de la Shoahno 8,‎ 2005, p. 185 (lire en ligne [archive]).
  9. ↑ « Pierre BÉNOUVILLE (de) » [archive], sur le site de l'ordre de la Libération (consulté le 13 mars 2023).
  10. ↑ Ce que réfute un ancien résistant : « Si les faits rapportés sont, en gros, exacts, leur présentation est orientée […] Rien de tout cela n'est vraiment historique […] Il faut bien se garder de voir les événements d'alors avec les yeux et les idées d'aujourd'hui. Croire, par exemple, qu'ils sont inspirés par des rivalités politiques et, par là, imaginer que « Combat », de par la présence de Bénouville, était un mouvement de droite opposé à Moulin, ancien préfet du Front populaire. »André Lafargue, « Qui était Bénouville ? », Le Parisien,‎ 13 janvier 2003 (lire en ligne [archive]).
  11. ↑ Guy Perrier, Le général Pierre de Bénouville, Éditions du Rocher, 2005.
  12. ↑ Pierre Péan, Carnages. Les guerres secrètes des grandes puissances en Afrique, Fayard 2010, p. 156.
  13. ↑ « Législatives 1968 (Alpes-Maritimes, 3e circonscription) : professions de foi du 2nd tour » [archive], sur https://archive.org/ [archive] (consulté le 22 janvier 2022).
  14. ↑ « Législatives 1968 (Alpes-Maritimes, 3e circonscription) : professions de foi du 1er tour » [archive], sur https://archive.org/ [archive] (consulté le 22 janvier 2022).
  15. ↑ Résultats des élections législatives françaises premier tour du 23/06/1968 par circonscription, cdsp_legi1968t1_circ.xls [fichier informatique], Banque de Données Socio-Politiques, Grenoble [producteur], Centre de Données Socio-politiques [diffuseur], février 2009.
  16. ↑ Franz Olivier Giesbert, La Tragédie du Président, scènes de la vie politique (1986-2006), Flammarion, 2006.
  17. ↑ Frédérique de Granvilliers, « Laurent Dassault rend hommage au Général Pierre Guillain de Bénouville » [archive], sur le site du magazine de mode de luxe firstluxemag, 21 novembre 2014 (consulté le 13 mars 2023).
  18. ↑ « Les liaisons dangereuses de Bénouville » [archive], sur le site du magazine L'Express, 18 novembre 1998 (consulté le 13 mars 2023).
  19. ↑ « Histoire de La Richardais « [archive].
  20. ↑ « Décret du 13 juillet 1994 portant élévation aux dignités de grand'croix et de grand officier » [archive], sur legifrance.gouv.fr (consulté le 18 juillet 2022)
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