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Vendée Militaire et Grand Ouest
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22 janvier 2021

Picabia Francis

Clic pour voir sa généalogie sur la ligne en dessous

 

 

Francis Picabia

Francis_Picabia

Francis Picabia vers 1910-19151.
Naissance
22 janvier 1879
Paris, Drapeau de la France France
Décès
30 novembre 1953 (à 74 ans)
Paris, Drapeau de la France France
Nom de naissance
Francis-Marie Martinez de Picabia
Nationalité
Français
Activité
Peintre, dessinateur, écrivain
Formation
École des beaux-arts, École nationale supérieure des arts décoratifs
Représenté par
Artists Rights Society (en)
Mouvement
Dadaïsme, surréalisme
Influencé par
Alfred Sisley
Conjoint
Gabrièle Buffet-Picabia (de 1909 à 1930)
Distinction
Chevalier de la Légion d'honneur‎
Site web
www.picabia.com
Œuvres principales
  • Corrida, 1926-1927
  • Le Matador dans l'arène, 1941-1943
Picabia dans sa Maison rose, au Tremblay-sur-Mauldre.

Francis Picabia, né Francis-Marie Martinez de Picabia le 22 janvier 1879 à Paris (2e arrondissement)2 et mort le 30 novembre 1953 dans la même ville, est un peintre, dessinateur et écrivain français, proche du mouvement dada, puis surréaliste.

Sommaire

  • 1 Biographie
  • 2 Dada
  • 3 La guerre et après
  • 4 Œuvres
  • 5 Expositions
  • 6 Notes et références
  • 7 Voir aussi
    • 7.1 Bibliographie
    • 7.2 Liens externes

Biographie

Francis Picabia est le petit-fils de Juan Martinez Picabia, né à Cuba, puis émigré à New York et Madrid et, côté maternel, d'Alphonse Davanne (1824-1912), chimiste et photographe, et président de la Société française de photographie. Son oncle, Maurice Davanne, est conservateur à la bibliothèque Sainte-Geneviève à Paris.

Sa mère, Marie Davanne, meurt en 1886. Il fait ses études chez les maristes au collège Stanislas, puis au lycée Monge, à Paris.

En 1894, voulant éprouver la vocation tôt manifestée de son fils, « Pancho » Picabia envoie, au Salon des artistes français, la toile de Francis intitulée Vue des Martigues. Le tableau ayant été non seulement accepté, mais primé, Picabia entre, après une scolarité compliquée, à l'École des arts décoratifs l'année suivante, où il sera l'élève de Wallet, Humbert et Cormon3; mais il fréquente plus volontiers l'École du Louvre et l'Académie Humbert, où il travaille aux côtés de Georges Braque et de Marie Laurencin. L'année 1897 marque un tournant dans sa carrière : la découverte d'Alfred Sisley lui révèle l'impressionnisme, pour lequel son enthousiasme se renforce avec la rencontre de la famille Pissarro, en 1898. Il commence à exposer régulièrement au Salon des artistes français.

C'est pour lui le début d'une période extrêmement féconde, qui durera dix ans ; les centaines de toiles qu'il peint alors, où l'influence impressionniste reste toujours plus ou moins sensible, sont propres à séduire le public : sa première exposition personnelle de 1905, à la galerie Haussmann à Paris, est un triomphe. Les tableaux exposés, étrangers aux nouvelles recherches plastiques, relèvent de l'imitation du « pur luminisme impressionniste » (Bords du Loing, 1905, Philadelphie, Museum of Art). Cependant, Picabia remet peu à peu en cause les valeurs plastiques qui lui valent son succès grandissant et, en 1908, sa rencontre avec Gabrièle Buffet — qui l'encourage à poursuivre de récentes recherches —, détermine la rupture avec l'impressionnisme comme avec ses marchands, rupture permise aussi par sa fortune personnelle.

De 1903 à 1908, influencé par les peintres de Barbizon, il côtoie Alfred Sisley, Camille Pissarro et Marius Borgeaud. Son aquarelle, Caoutchouc (1909, Paris, Musée national d'Art moderne), est considérée comme une des œuvres fondatrices de l'art abstrait.

À sa majorité, il prend possession de l'héritage maternel qui lui assure de confortables revenus. Sa première exposition personnelle (61 tableaux) est organisée en 1905 à Paris à la galerie Haussmann, chez Danthon, la suivante à Berlin à la Kaspar Kunstsalon. Il montrera ensuite ses œuvres à nouveau chez Danthon en 1907, puis à Londres, Munich, Barcelone.

De 1905 à 1908, Picabia séjourne deux fois à Martigues et réalise de nombreux paysages de style impressionniste de la ville et de ses canaux.

En 1909, il épouse Gabrièle Buffet, peut-être petite-nièce d'Alphonse de Lamartine, petite-fille de l'amiral de Challié et descendante d'un frère de Jussieu, « l'homme qui rapporta le cèdre du Liban dans son chapeau », dixit Picabia. Une fille, Laure Marie Catalina, naît en 1910 ; un garçon, Pancho Gabriel François, en 1911. Ils auront encore une fille, Gabrielle Cécile, dite Jeannine, en 1913, et un garçon, Vincente, né en 1919. À cette époque, il peint de manière très colorée à la manière des Fauves et fait ses premières incursions dans le domaine de l'abstraction.

En 1911, il rejoint le groupe de Puteaux qui se réunissait dans le studio du peintre Jacques Villon, frère de Marcel Duchamp, qu'il a rencontré en 1910. Il devient aussi orphiste et créé en 1912, à Puteaux, le Salon de la Section d'Or, avant de connaître un premier succès international à l'exposition de l'Armory Show de New York, en 1913.

Marqué par la Broyeuse de chocolat et le concept de ready-made de Marcel Duchamp, il confectionne, dès 1913, une série d'œuvres où il reprend l'esthétique du dessin industriel, recopiant ou simplifiant des images qu'il trouvait dans le magazine scientifique La Science et la Vie.

Dada

De 1913 à 1915, Picabia se rend plusieurs fois à New York et prend une part active dans les mouvements d'avant-garde, introduisant l'art moderne sur le continent américain. En 1916, après une série de compositions « mécanistes », où il traite les objets manufacturés avec une distante ironie, il lance à Barcelone la revue 391 et se rallie au dadaïsme. Il rencontre Tristan Tzara et le groupe dada de Zurich, en 1918 après avoir côtoyé à New York Marcel Duchamp, Man Ray, Arthur Cravan et Henri-Pierre Roché. Il se fait alors le saboteur de dada avec André Breton, à Paris. Polémiste, iconoclaste, sacrilège, Picabia s'agite autour de dada en électron libre, en étant en principe « anti-tout », voire anti-Picabia. En 1921, las des querelles et des provocations, il rompt avec ses anciens complices. « J'ai inventé le dadaïsme ainsi qu'un homme met le feu autour de lui, au cours d'un incendie qui gagne, afin de ne pas être brûlé », écrit Francis Picabia en 1947. Il n'en demeurera pas moins fidèle au côté iconoclaste des dadaïstes dans ses écrits et avec ses tableaux résolument provocateurs, tel son L’œil cacodylate simplement couvert des signatures de ses amis, se moquant du fait que la signature de l'artiste est ce qui confère de la valeur à une œuvre.

Mobilisé pour la guerre en 1914, Picabia réussit à obtenir une mission pour Cuba. Il descend à New York où il retrouve ses amis. Inspiré par sa passion de la mécanique automobile, Picabia crée une série de peintures et de collages à sujets mécaniques. Il détourne la figuration proprement dite des moteurs et des engrenages pour s'en servir à des fins humoristiques, symboles des penchants humains, de l'amour et de la pulsion sexuelle.

En 1917, il rencontre Germaine Everling avec laquelle il part, en 1918, pour Lausanne. Quand elle rentre à Paris, Picabia est assailli à coups de feu par Costica Gregori qui lui reproche d'avoir eu des relations avec son épouse, Charlotte, artiste peintre sous le nom de « Charles ». Picabia revient alors vivre à Paris, voyageant souvent vers New York, la Normandie, la Côte d'Azur, et joue souvent dans les casinos avec des fortunes diverses. Un fils, Lorenzo, naît de sa liaison avec Germaine Everling. La Suissesse Olga Mohler est embauchée pour s'occuper de Lorenzo, qui a cinq ans en 1923. Il expose des œuvres inspirées des recherches optiques de Marcel Duchamp. Il hérite de la fortune de son oncle décédé.

En 1924, il fonde à Barcelone la revue 391 (en hommage à la revue 291 (en) d'Alfred Stieglitz directeur de la galerie éponyme à New York)4, à laquelle participent Duchamp et Man Ray.

Malgré son apostrophe ancienne à l’encontre du couturier, « Merde pour les collections parfumées de M. Doucet », Francis Picabia est l'un des artistes favoris de Jacques Doucet qui lui achète à plusieurs reprises des toiles et des dessins pour orner ses demeures, conseillé par André Breton. Picabia entretient des relations suivies avec Jacques Doucet, au-delà de la période de collaboration de Breton à la Bibliothèque littéraire. Il cède à Doucet pour ses collections littéraires divers manuscrits, des articles de la revue Comoedia, dont celui de Picabia se sépare de Dada ainsi que les maquettes de la revue 391. Quelques années après la mort du collectionneur, Picabia remet à la bibliothèque, pour compléter ces éléments, les 13 volumes de ses Albums, qui constituent un récapitulatif au jour le jour des péripéties du mouvement Dada, composé de documents originaux, de dessins, de coupures de presse, mais également la correspondance reçue par Francis Picabia et sa compagne Germaine Everling au cours des années 1920. La Bibliothèque conserve également une grande partie des livres publiés par Picabia.

En 1975 et en 1978, Olga Picabia compléta cet ensemble par le don de lettres adressées à l'artiste5.

Outre l'automobile et les jeux de hasard, il se passionne pour le cinéma et la photographie. Dans ses écrits sur le cinéma, il pressent le rôle prépondérant du cinéma américain. En 1924, il écrit le scénario du court-métrage Entr'acte, réalisé par René Clair, et destiné à être projeté à l'entracte de son ballet instantanéiste qu'il met en scène et dont il réalise les décors, Relâche (chorégraphie de Jean Börlin et musique d'Erik Satie, celui-ci y figurant d'ailleurs au tout début). Il travaille ensuite pour les Ballets suédois, de Rolf de Maré, pour lesquels il réalise de nombreux décors. Le 31 décembre de la même année, il propose une soirée unique, Ciné-Sketch, où trois scènes se déroulent en étant éclairées brièvement et en alternance.

Il s'installe à Mougins en 1925 dans le Château de Mai. Il y mène durant quelques années une vie mondaine remarquée. Il continue de peindre, notamment sa série des transparences. Il prend ses distances avec Dada. Il débute une liaison avec Olga Mohler qui entraîne la séparation avec Germaine Everling en 1933, année où Picabia est fait chevalier de la Légion d'honneur.

En 1935, il entame un cycle de peintures figuratives. Il vend son Château de Mai. Il partage ensuite son temps entre Paris et le Midi.

La guerre et après

En 1940, conviés sans doute par leur ami Robert Dumas — haut personnage des casinos, qui sera préfet du Lot de la Résistance, dit « le préfet des bois » —, qu'ils ont connu à Monte-Carlo, Francis Picabia et Olga Mohler se réfugient chez les Dumas, à Calamane, dans le Lot. Ils s'y marient le 14 juin. Mme Dumas est leur témoin. Ils reviendront plus tard à Golfe Juan. Ils s'installent ensuite à Tourrettes-sur-Loup, puis à Felletin, dans la Creuse. Il continue de peindre des tableaux réalistes, souvent repris de photographies. Son indifférence provocante autant envers la Résistance que la collaboration lui valent des ennuis à la fin de la guerre.

Après 1945, il regagne Paris, renoue avec l'abstraction et publie des écrits poétiques.

Son goût immodéré pour les fêtes et les voitures (il en collectionnera plus de 150), le ruine malgré la fortune familiale dont il avait hérité et qui l'avait longtemps mis à l'abri6. Il multiplie les petites toiles de nombreux genres, parfois même inspirées de magazines pornographiques. Confronté à des ennuis de santé, ses derniers tableaux relèvent du minimalisme : des points de couleurs semés sur des fonds épais et monochromes, titrés Je n'ai plus envie de peindre, quel prix ?, Peinture sans but ou Silence….

Au printemps 1949, Michel Tapié à la galerie René Drouin, à Paris, organise sa première rétrospective.

À la fin de l'année 1951, Picabia souffre d'une artériosclérose paralysante qui l'empêche de peindre et meurt deux ans plus tard. Olga Picabia est décédée en 2002 à 97 ans.

Œuvres

Peintures
  • Plages et rochers à Douarnenez (1901, huile sur toile, collection particulière).
  • Les Martigues (1902), fusain sur papier, Alès, musée-bibliothèque Pierre-André-Benoit.
  • La Rivière. Bord de la Douceline à Munot près de La Charité-sur-Loire (1906), Nevers, musée de la Faïence et des Beaux-Arts7.
  • L'Arbre rouge (1912), huile sur toile (92,5 × 73,4 cm), Paris, musée national d'Art moderne
  • La Procession, Séville (1912), huile sur toile (121,9 × 121,9 cm), Washington, National Gallery of Art
  • Udnie (1913), huile sur toile (290 × 300 cm), Paris, musée national d'Art moderne8.
  • Edtaonisl (1913), Art Institute of Chicago.
  • New York (1913), mine graphite, gouache et aquarelle sur papier (55,8 × 75,8 cm)
  • La Ville de New York aperçue à travers mon corps (1913), gouache, aquarelle, crayon et encre (55 × 74,5 cm)9.
  • Prostitution universelle (1916), New Haven, Yale University Art Gallery.
  • Parade amoureuse (1917), huile sur carton (97 × 74 cm), Paris, collection particulière[réf. nécessaire].
  • Danse de Saint-Guy (Tabac Rat) (1919), Paris, musée national d'art moderne.
  • L'Enfant Carburateur (1919), huile, émail, feuille d'or, crayon sur contreplaqué, New York, musée Guggenheim.
  • L'Œil cacodylate (1921), huile sur toile, Paris, musée national d'art moderne.
  • Chapeau de paille ? (1921), Paris, musée national d'art moderne.
  • La Nuit espagnole (1922), Cologne, musée Ludwig.
  • Optophone II (1923), huile sur toile (116 × 88,5 cm), musée d'Art moderne de la ville de Paris10.
  • Le Dresseur d'animaux (1923), Ripolin sur toile (250 × 200 cm), Paris, musée national d'art moderne11.
  • Cure-dents (1925), huile et collage sur toile (129 × 110 cm)12.
  • Corrida (1926-1927), gouache (104,8 × 75,2 cm), collection privée, Suisse.
  • Idylle (1927), huile sur carton (105,7 × 75,7 cm), musée de Grenoble.
  • L'Autoportrait de dos avec femme enlacée et masque (1927-1930), Antibes, musée Picasso.
  • La Mariée, 1929, technique mixte sur toile (121,5 × 96,5 cm).
  • Le Masque et le Miroir (1930-1945), huile sur contre- plaqué (85,2 × 69,9 cm), Paris, musée national d'art moderne.
  • Figure et fleurs (1935-1945), huile sur toile (100 × 73 cm), Paris, musée national d'art moderne.
  • Maternité (1936), huile sur toile (162,4 × 130,3 cm), Paris, musée national d'art moderne.
  • Printemps (1938), galerie Rose Fried.
  • Le Matador dans l'arène (1941-1943), huile sur carton (105 × 76 cm), Genève, musée du Petit Palais.
  • Sans titre (masque) (1946-1947), huile sur carton (64,5 × 52,5 cm), Paris, musée national d'art moderne.
  • Chose à moi-même (1946), huile sur carton (92 × 72,5 cm), collection particulière13.
  • Cherchez d'abord votre Orphée (1948), huile sur toile (169 × 70 cm), Alès, musée Pierre-André-Benoit.
  • L'Insensé (1948), huile sur toile (151 × 10 cm), Cologne, musée Ludwig14.
  • Veuve (1948), huile sur bois (153,2 × 116 cm), Paris, musée national d'art moderne.
  • Déclaration d'amour (1949), huile sur panneau (96 × 69 cm), Alès, musée Pierre André Benoit.
  • Symbole (1950), huile sur contreplaqué (100 × 85 cm), Alès, musée Pierre André Benoit.
  • Bord du Loing. Effet d'automne (1904), huile sur toile, musée des Beaux-Arts d'Agen15.
Estampes
  • Nemours, château de Nemours :
    • Le Loing, avant 1947, pointe sèche, feuille: 24.8 x 19.4 cm16.
Publications
Première édition de Jésus-Christ Rastaquouère (1920), avec des illustrations de Georges Ribemont-Dessaignes.
  • Cinquante-deux miroirs, Barcelone, octobre 1917.
  • Poèmes et dessins de la Fille née sans mère, Lausanne, Imprimeries réunies, avril 1918.
  • L'Îlot de Beau-Séjour dans le Canton de Nudité, Lausanne, juin 1918.
  • L'Athlète des Pompes funèbres, Bégnins, décembre 1918.
  • Râteliers platoniques, Lausanne, décembre 1918.
  • Poésie ron-ron, Lausanne, février 1919.
  • Pensées sans langage, Paris, Figuière, avril 1919.
  • Unique Eunuque Paris, Au Sans Pareil, coll. « Dada », février 1920 ; rééd. Paris, Allia, coll. « Avant Gardes », 1992, 44 p. (ISBN 978-2904235467).
  • Jésus-Christ Rastaquouère, Paris, Au Sans Pareil, coll. « Dada », automne 1920 ; rééd. Paris, Allia, coll. « Petite Collection », 1996, 61 p. (ISBN 978-2911188237).
  • Caravansérail [1924], Éd. Luc-Henri Mercié, Paris, Belfond, 1975.
  • Choix de poèmes par Henri Parisot, Paris, Guy Lévis-Mano, 1947.
  • Lettres à Christine, 1945-1951, édition établie par Jean Sireuil, présentation, chronologie et bibliographie par Marc Dachy. Paris, Champ libre, coll. « Champ libre », 1988, 250 p. (ISBN 978-2851841841).
  • Écrits, deux volumes, édition établie par Olivier Revault d'Allonnes et Dominique Bouissou, Paris, Belfond, 1975 et 1978 (ISBN 9782714411204).
  • Écrits critiques, préf. Bernard Noël, édition établie par Carole Boulbès, Paris, Mémoire du Livre, coll. « Essais », 2005, 693 p. (ISBN 978-2913867512).

Correspondance avec Tristan Tzara et André Breton 1919-1924, présentée et éditée par Henri Béhar, Paris, Gallimard, 2017.

Expositions

  • Francis Picabia : Galeries Nationales du Grand Palais, Paris, du 23 janvier au 29 mars 1976.
  • Francis Picabia: les nus et la méthode, musée de Grenoble du 17 octobre 1998 au 3 janvier 1999.
  • Francis Picabia: A Retrospective, Kunsthaus de Zurich, du 3 juin au 25 septembre 2016.
  • Francis Picabia: Our Heads Are Round so Our Thoughts Can Change Direction, Museum of Modern Art de New York, du 21 novembre 2016 au 19 mars 2017.

Notes et références

  1. « Francis Picabia » [archive], notice de la Library of Congress.
  2. Archives numérisées de l'état civil de Paris, acte de naissance no 2/116/1879, avec mention marginale du décès (consulté le 10 septembre 2012).
  3. « Biographie de Francis Picabia par Beverley Calte » [archive], sur picabia (consulté le 21 avril 2019)
  4. Pierre Cabanne et Pierre Restany, L'avant garde au XXe siècle, Paris, André Balland, 1969, 473 p., p.188
  5. ABES, « Calames » [archive], sur www.calames.abes.fr (consulté le 24 janvier 2018).
  6. Galeries Nationales du Grand Palais, « Francis Picabia », Catalogue de l'exposition,‎ 23 janvier au 29 mars 1976
  7. La toile, volée le 12 janvier 1974, au musée de la Faïence de Nevers, restituée par Sotheby's France à Paris le 5 septembre 2012 « Une toile volée de Picabia restituée par Sotheby's au musée de Nevers » [archive], sur www.lepoint.fr.
  8. Reproduction in Giovanni Lista, « Dada libertin & libertaire », L'Insolite, Paris 2005, p. 28 (ISBN 978-2916054018).
  9. Reproduction in Giovanni Lista, op. cit., p. 29.
  10. Reproduction dans Beaux Arts Magazine, no 103, juillet-août 1992, p. 49.
  11. http://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cBAgLnq/rXbeky7 [archive]
  12. Reproduction dans Beaux Arts Magazine, no 126, septembre 1994, p. 112.
  13. Laurence Bertrand Dorléac, Après la guerre, Gallimard, coll. « Art et artistes », p. 58 (notice BnF no FRBNF42141329).
  14. Reproduction dans Beaux-Arts magazine, no 69, juin 1989, p. 86.
  15. « http://www.agen.fr/files/agen/vie_culturelle/livrets-pedagogiques/impressionnisme.pdf »
  16. https://www.photo.rmn.fr/archive/17-510625-2C6NU0ATWD9Q4.html [archive]

Voir aussi

Bibliographie
  • George Isarlo, Picabia peintre, Paris, J. Corti, coll. « Orbes », no 1, 1929.
  • Marc Le Bot, Francis Picabia et la crise des valeurs figuratives, Paris, Klincksieck, 1968.
  • Germaine Everling, L'Anneau de Saturne, Paris, Fayard, 1970 [relation de sa liaison avec Picabia].
  • Cathy Bernheim, Picabia, Éditions du Félin, coll. « Vifs », 1995, 256 p. (ISBN 978-2866451882).
  • Serge Fauchereau, Picabia, Paris, Éditions Cercle d'Art, 2002, 64 p. (ISBN 9782702206836).
  • Francis Picabia, singulier idéal, [catalogue de l'exposition], Paris, musée d'Art moderne de la ville de Paris, 2002-2003.
  • Alain Jouffroy, Picabia, Paris, Éditions Assouline, coll. « Mémoire de l'art », 2003, 80 p. (ISBN 978-2843233944).
  • Francis Picabia, pionnier de l'art moderne, [catalogue de l'exposition], Alès, musée Pierre-André-Benoit, 2013.
Liens externes
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