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Vendée Militaire et Grand Ouest
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22 mars 2024

d'Espagnat Georges

 

Clic pour voir sa généalogie sur la ligne en dessous

 

 

Georges d'Espagnat

Autoportait_de_Georges_d'Espagnat

Autoportrait (1947)
Naissance 14 août 1870Voir et modifier les données sur Wikidata
MelunVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès 17 avril 1950Voir et modifier les données sur Wikidata (à 79 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Peintre, illustrateur, graveurVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation École nationale supérieure des arts décoratifs, école des beaux-arts de Paris
Mouvement
SymbolismeVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Bernard d'EspagnatVoir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
Officier de la Légion d'honneur‎Voir et modifier les données sur Wikidata
Archives conservées par Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 3785-3805, 21 pièces, 1900-1942)

Biographie

En 1888, Georges d'Espagnat entre à l'École des arts décoratifs et à l'École des beaux-arts de Paris. Doté d'un caractère fort et très indépendant, il préfère se former seul en effectuant des copies de tableaux, notamment du musée du Louvre.

Dessinateur et graveur de talent, il contribue à de nombreux périodiques illustrés tels que Le Courrier français (1895-1896), La Critique et Le Rire (1899-1912). Il est l'auteur de lithographies originales. Pratiquant la gravure sur bois, il utilise le canif et obtient un rendu expressionniste. Il donne ainsi plusieurs bois à L'Ymagier dirigée par Remy de Gourmont dont il illustre le roman Sixtine (1922).

Il est le père du physicien Bernard d'Espagnat (1921-2015) et le cousin du peintre et graveur Christian d'Espic (1901-1978). Son frère Paul est également illustrateur.

Georges d'Espagnat meurt le 17 avril 1950 dans le 18e arrondissement de Paris.

Collections publiques

Bois gravé original (1895).Réunion de musiciens chez M. Godebski (1910).

Très productif, Georges d'Espagnat a peint plus de mille toiles. Ses œuvres sont conservées dans de nombreux musées.

  • Bruxelles, Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique.
  • Douai, Musée de la Chartreuse.
  • Genève, Petit Palais : Le Printemps.
  • Madrid, Musée Thyssen-Bornemisza.
  • Moscou, Musée des Beaux-Arts Pouchkine.
  • New York, Metropolitan Museum of Art.
  • Paris :
    • Musée d'Art moderne de la ville de Paris ;
    • Musée d'Orsay ;
    • Bibliothèque-musée de l'Opéra : Réunion de musiciens chez M. Godebski (1910), donation de 1931, tableau représentant des membres du cercle des Apaches, Michel-Dimitri Calvocoressi, Maurice Ravel, Albert Roussel, Florent Schmitt, Déodat de Séverac, Ricardo Viñes au piano, chez Cipa Godebski et son fils Jean, 22, rue d'Athènes à Paris.
  • Rouen, musée des Beaux-Arts.
  • Saint-Tropez, Musée de l'Annonciade.
  • Strasbourg, Musée d'Art moderne et contemporain.
  • Tokyo, Masuoka Museum of Art.

Notes et références

  1. ↑ « https://archives.yvelines.fr/rechercher/archives-en-ligne/correspondances-du-musee-departemental-maurice-denis/correspondances-du-musee-maurice-denis [archive] », sous le nom ESPAGNAT Georges d' (consulté le 12 février 2022)
  2. ↑ « Espagnat, Georges d' », dans Janine Bailly-Herzberg, Dictionnaire de l'estampe en France (1830-1950), Paris, Arts et matiers du livre / Flammarion, 1985, p. 114.
  3. ↑ Archives de Paris 18e, acte de décès no 1298, année 1950 (page 10/20) [archive].
  4. ↑ Georges d'Espagnat sur la Base Arcade des archives nationales [archive]
  5. ↑ Georges d'Espagnat Sur la Base Joconde [archive]
  6. ↑ René-Jean, « Une toile, une époque. Une réunion de musiciens, le tableau d’Espagnat entré au Musée de l’Opéra évoque une époque musicale », Comœdia,‎ 7 février 1931, p. 1 (lire en ligne [archive], consulté le 19 mai 2021)

Annexes

Bibliographie
  • René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 472-473 (avec reproduction des toiles Le Cavalier et Nu couché)
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