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Vendée Militaire et Grand Ouest
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30 mars 2023

Maillol Aristide

Clic pour voir sa généalogie sur la ligne en dessous

 

 

Aristide Maillol

250px-Maillol1925

Aristide Maillol, photographié par Alfred Kühn en 1925.
Naissance
8 décembre 1861
Banyuls-sur-Mer (Pyrénées-Orientales, France)
Décès
27 septembre 1944 (à 82 ans)
Banyuls-sur-Mer
Nom de naissance
Aristide Bonaventure Jean Maillol
Nationalité
Française Drapeau de la France
Activité
Peintre, graveur, sculpteur, tapissier
Formation
École nationale supérieure des beaux-arts de Paris
Maître
Jean-Léon Gérôme, Alexandre Cabanel
Représenté par
Artists Rights Society (en)
Mouvement
Nabi
Mécènes
Comte Harry Kessler
Influencé par
Pierre Puvis de Chavannes, Paul Gauguin
A influencé
Henry Moore, Hans Arp, Henri Laurens
Distinction
Commandeur de la Légion d'honneur‎
Œuvres principales
Flore, L'Air, L'Action enchaînée
signature d'Aristide Maillol
Signature sur L'Air (1938), Paris, jardin des Tuileries.

Aristide Maillol, né Aristide Bonaventure Jean Maillol1 le 8 décembre 1861 à Banyuls-sur-Mer (Pyrénées-Orientales)2 et mort le 27 septembre 1944, est un peintre, graveur et sculpteur français.

Il commence une carrière d'artiste peintre et s'intéresse très tôt aux arts décoratifs (céramique et tapisserie), avant de se consacrer à la sculpture, vers l'âge de quarante ans.

Aristide Maillol fut l'un des sculpteurs les plus célèbres de son temps. Son œuvre, silencieuse, fondée sur des formes pleines élaborées à partir de l'étude du nu féminin, et simplifiées jusqu'à l'épure, représente une véritable révolution artistique, anticipant l'abstraction. Sa création a marqué le tournant entre le XIXe et le XXe siècle. Elle a aussi inspiré nombre de grands artistes, dont Henry Moore, Hans Arp ou Henri Laurens et trouvé une résonance chez Pablo Picasso, Constantin Brancusi et Henri Matisse. L'œuvre de Maillol a suscité les éloges de grands écrivains, tels Octave Mirbeau et André Gide, ou encore les ouvrages d'éminents critiques d'art, tels Waldemar George et John Rewald.

Sommaire

  • 1 Biographie
    • 1.1 Jeunesse (1861-1881)
    • 1.2 Les années de formation (1882-1890)
    • 1.3 Des débuts difficiles (1890-1900)
    • 1.4 Début de reconnaissance (1900-1904)
    • 1.5 Vers la fin de l'allégorisme (1905-1918)
    • 1.6 La notoriété (1918-1944)
  • 2 Style
  • 3 Les musées Maillol
  • 4 Commémoration
  • 5 Œuvres diverses
  • 6 Notes et références
  • 7 Annexes
    • 7.1 Bibliographie
    • 7.2 Liens externes

Biographie

Jeunesse (1861-1881)

Aristide Maillol est né le 8 décembre 1861 à 10 heures du matin, au lieu-dit « Le Bord de la mer » (en fait le quartier situé près du littoral), plus précisément au no 6 rue du Puig à Banyuls-sur-Mer. Il est le fils de Catherine Rougé (née en 1831) sans profession, et de Raphaël Maillol (né en 1820), épicier1. Il est l'avant-dernier de cinq enfants. Dès son plus jeune âge, il voit sa tante Lucie se charger de son éducation.

Signature de Raphaël Maillol, père d'Aristide, sur son acte de naissance daté du 9 décembre 1861 à Banyuls-sur-Mer.
Les années de formation (1882-1890)
Cette peinture représente, une demoiselle Faraill. Nièce du sculpteur Gabriel Faraill, qui a initié Maillol à la sculpture. Faraill avait fait les Beaux-Arts, et avait réalisé une sculpture commandé par les Beaux-Arts de Paris, de son professeur M. Farochon.
La Femme à l'ombrelle (1895), huile sur toile, Paris, musée d'Orsay.

Après des études au lycée Saint-Louis-de-Gonzague à Perpignan, il se rend à Paris en 1882, s'inscrit au cours de dessin de Jean-Léon Gérôme à l'École nationale supérieure des beaux-arts, puis rencontre Antoine Bourdelle, qui l'aide en 1889 quand il rencontre des difficultés financières. Lorsqu'il découvre les tapisseries de La Dame à la licorne au musée de Cluny, il ouvre un atelier de tissage à Banyuls. Il y rencontre Clotilde Narcis, dont il aura un fils, Lucien, né en 1896. Elle sera sa compagne et son premier modèle en sculpture. Sa peinture est influencée par ses contemporains et il admire Pierre Puvis de Chavannes. Il appartient au groupe des nabis, où il côtoie Pierre Bonnard, Édouard Vuillard et Maurice Denis, et sa rencontre avec Paul Gauguin, en 1892, est décisive.

Des débuts difficiles (1890-1900)

Bien qu'il inscrive son œuvre en rupture avec la précédente génération, il obtient le soutien actif, quoique ambigu, d'Auguste Rodin, qui proclame que le génie du jeune sculpteur est si éclatant qu'il n'a pas besoin de soutien. Rodin lui adresse toutefois des commanditaires.

Début de reconnaissance (1900-1904)
Portrait d'Ambroise Vollard par Pierre-Auguste Renoir (1908). Vollard y est représenté examinant une statuette d'Aristide Maillol.

L’année 1900 est un tournant dans l’œuvre de Maillol, qui invente un véritable répertoire de formes, préfigurant son œuvre à venir. Ses premières sculptures en bois, puis ses modelages en terre crue ou en argile, Vénus ou baigneuses debout, accroupies, se coiffant, évoquent la statuaire grecque archaïque. La perfection des formes de Léda impressionne Auguste Rodin et Octave Mirbeau. Ce dernier en fait l’acquisition en 1902, lors de l’exposition à la galerie Vollard à Paris, qui rencontre un grand succès et rapporte :

« Un soir, chez moi, Auguste Rodin étudiant longuement, tournant et retournant dans sa main une figure de Maillol, me dit : « Maillol est un sculpteur aussi grand que les plus grands… Il y a là, voyez-vous, dans ce petit bronze, de l’exemple pour tout le monde ; aussi bien pour les vieux maîtres, que pour les jeunes débutants… Je suis heureux de l’avoir vu… Si le mot génie, improprement appliqué à tant de gens, aujourd’hui, a encore un sens, c’est bien ici… Oui, Maillol a le génie de la sculpture… Il faut être de mauvaise foi, ou très ignorant, pour ne pas le reconnaître. Et quelle sûreté dans le goût !… Quelle intelligence de la vie, dans le simple !… Ce qu’il y a d’admirable, en Maillol, ce qu’il y a, pourrais-je dire, d’éternel, c’est la pureté, la clarté, la limpidité de son métier et de sa pensée… » Et, remettant à sa place, dévotement, la statuette, il ajouta, avec un sourire qui exprimait toute sa joie de rendre hommage à un talent dont nul, mieux que lui, ne pouvait comprendre la bonne éducation, la perfection technique et sentir l’intense frémissement de vie : « Je suis tranquille sur l’avenir d’un tel homme… »

En 1903, il installe à Marly-le-Roi son atelier et sa maison d'été (rue Thibaut, chemin de la Mare Thibaut)3,4,5.

Vers la fin de l'allégorisme (1905-1918)

Maillol connaît le succès lorsqu'il expose le plâtre de Méditerranée au Salon d’automne de 1905, parmi les peintres fauves, dont les tableaux exaltent la couleur pure. La sculpture, monumentale, représente une femme assise, absorbée dans ses pensées, dont le coude appuyé sur son genou et la tête reposant sur sa main ferment une composition géométrique. André Gide la décrit ainsi : « Elle est belle, elle ne signifie rien, c’est une œuvre silencieuse. Il faut remonter bien loin en arrière pour trouver une aussi complète négligence de toute préoccupation étrangère à la simple manifestation de la beauté. » Hommage à Rodin, cette figure méditative, dont toute expression est absente au profit d’une vision d’ensemble, cette œuvre majeure, lisse, structurée comme une architecture, est emblématique des recherches de Maillol.

L'œuvre n'est plus la traduction d'une pensée littéraire ou mythologique, elle ne vise plus une lecture ou un sens préétabli. Le destin de la sculpture va désormais s'orienter vers la forme pure dégagée de tout souci ou contenu. Sur la plage, Maillol observe une baigneuse, qui s'avance vers le flot et tire le haut de sa robe de bain pour éviter de mouiller le bas tout en rejetant les épaules en arrière, dressant ses seins en avant. Ce mouvement fugitif d'une inconnue, geste délicat et féminin, pudique mais plein d'érotisme, restera l'obsession de toute son œuvre.

Le comte Harry Kessler, collectionneur allemand qui sera son mécène durant toute sa carrière, lui en commande une version en pierre. En 1923, pour honorer une commande d’État, Maillol en fera une autre en marbre (Paris, musée d’Orsay).

Dès 1905, Maillol reçoit des commandes privées et publiques, dont le Monument à Louis-Auguste Blanqui, homme politique révolutionnaire, emprisonné une grande partie de sa vie. Maillol représente une femme nue, L’Action enchaînée, qui tente en vain de se libérer de ses entraves par un puissant mouvement de rotation du torse. Cette conception inédite du monument public provoque un scandale. De même, pour l’Hommage à Cézanne, commandé en 1912 par Aix-en-Provence. Maillol s’inspire d’un nu féminin et les commanditaires refusent l’œuvre, que Frantz Jourdain fera rentrer plus tard dans les collections nationales.

Maurice Denis lui présente en 1910 le collectionneur russe Ivan Morozov, qui lui a commandé des panneaux peints pour la décoration de son salon, pour lequel Maillol réalise quatre nus féminins grandeur nature : Pomone, Flore, L’Été et Le Printemps. La même année, dans le hameau de Montval près de Marly-le-Roi, il élabore avec son neveu, Gaspard Maillol, une texture de papier adaptée aux exigences artistiques : le « papier Montval » et créaient une petite fabrique4,6.

Après la mort de Rodin en 1917, auquel on l’a toujours opposé en termes de style, Maillol est considéré comme un des plus grands sculpteurs français vivants.

La notoriété (1918-1944)

Dans l’entre-deux-guerres, il réalise quatre monuments aux morts : à Banyuls-sur-Mer, Céret, Elne et Port-Vendres, ainsi qu’un monument funéraire à Bâle.

Il exécute des bois gravés pour illustrer des textes antiques : Les Églogues puis Les Géorgiques de Virgile, L'Art d'aimer d’Ovide, Daphnis et Chloé de Longus.

En 1930, il sculpte une Femme se coiffant d'une hauteur de 80,5 cm7. Dans les années 1930, Maillol réalise le Monument à Debussy, aux courbes tout en douceur. Dans cette période où il cherche une inspiration nouvelle, il a pour modèle, élève en gravure sur bois et maîtresse Lucile Passavant, puis fait la connaissance, en 1934, de Dina Vierny ; cette jeune fille aux formes épanouies devient son principal modèle pendant dix ans. À la fois muse, interlocutrice et collaboratrice, elle pose pour ses dernières sculptures monumentales : La Montagne, en 1937, qui achève le cycle entamé au début du siècle, L'Air, en 1938, Monument à la mémoire des aviateurs de l’Aéropostale, puis La Rivière, corps féminin renversé en arrière, qui s’efforce de résister au courant qui l’entraîne inexorablement. C’est la première représentation en sculpture d’une figure sur le flanc, en équilibre instable, sorte d’allégorie des temps troublés qui s’annoncent avec la Seconde Guerre mondiale, pendant laquelle Maillol se retire à Banyuls-sur-Mer ; ce serait la représentation d'elle préférée par le modèle car lui correspondant le mieux8.

Après deux rétrospectives en 1933, à New York et à Bâle, Maillol voit la consécration de son œuvre lors de l’Exposition universelle de 1937 à Paris, par la place qu’occupent ses sculptures dans le tout nouveau musée national d’art moderne au palais de Tokyo.

Avec Harmonie, sa dernière œuvre commencée en 1940, restée inachevée, il atteint le sommet de son art. La silhouette féminine légèrement déhanchée évoque la sculpture médiévale, elle fait la synthèse de toutes ses recherches formelles mais, contrairement aux œuvres précédentes, c’est également un portrait.

L’artiste meurt en septembre 1944 des suites d’un accident de voiture, près de son village natal. Il laisse un corpus d'œuvres considérable que l’on peut admirer à Paris, en province et à l’étranger. Son héritier est son fils Lucien Maillol (1896-1972), qui, à sa mort, fait de Dina Vierny son héritière.

Dans le jardin du Carrousel à Paris sont exposées les 19 sculptures offertes sous l’égide d’André Malraux, en 1964, et Dina Vierny9,3, créée rue de Grenelle à Paris un musée consacré à l’artiste, inauguré en 1995 par François Mitterrand.

Style

Par sa vision synthétique, axée sur l’arrangement des masses et la rupture radicale avec l’art descriptif du XIXe siècle, Maillol, dans son domaine, a ouvert la voie vers l’abstraction, comme Paul Cézanne en peinture. D’emblée, Maillol pense à une sculpture de l’immobile et atteint une perfection des proportions, tant pour les statues de petit format que pour celles aux dimensions monumentales.

Les musées Maillol

Le musée Maillol à Paris.
La Méditerranée ornant la tombe d'Aristide Maillol, à la métairie de Banyuls-sur-Mer (aujourd'hui musée Maillol).
Autre vue de La Méditerranée devant la métairie/ musée de Banyuls

Dina Vierny, dernier modèle de Maillol durant une dizaine d'années — qui avait été sauvée de la déportation grâce à l'entremise d'Arno Breker et de Maillol — a, depuis la mort de Maillol, entrepris de diffuser son œuvre à l'aide de la Fondation Dina Vierny-musée Maillol, à Paris.

Jeunesse (détail), Musée d'Orsay à Paris.

En 1994 est inauguré le musée Maillol de Banyuls-sur-Mer, sa ville natale, dans son ancienne métairie qui lui servit d’atelier. Dina Vierny restaura pendant de nombreuses années le bâtiment, le sauvant ainsi de la ruine. C’est là que Maillol venait méditer, travailler. C’est dans cet endroit isolé, en pleine nature, environné par les montagnes délimitant la frontière des Pyrénées, qu’il est aujourd’hui enterré sous le socle de l’une de ses œuvres, Méditerranée10.

Commémoration

Le 20 février 1961, la Poste française a émis un timbre d'une valeur de 20 centimes à la mémoire d'Aristide Maillol. Le timbre représente Méditerranée (1905), bronze de 1,03 m situé au jardin du Carrousel des Tuileries à Paris11.

Le 4 avril 2009, à Banyuls-sur-Mer, à l'occasion de la journée inaugurale de l'Espace Maillol et des chemins de la liberté, ont été dévoilées sur le front de mer la sculpture Ile-de-France sans bras (1925) et la plaque inaugurale de l'Espace Maillol.12

Le 1er janvier 2015, l'entrée des œuvres d'Aristide Maillol dans le domaine public a fait l'objet d'une couverture médiatique nationale en France13,14.

Œuvres diverses

  • Nymphe aux fleurs, bronze à patine verte, 1931, Alexis Rudier fondeur, hauteur:157cm15

Notes et références

  1. a et b Fabricio Cardenas, « Extrait de naissance d'Aristide Maillol » [archive], sur Vieux papiers des Pyrénées-Orientales (consulté le 27 mars 2017).
  2. Autorité BnF [archive].
  3. a et b Patrimoine ancien : L’atelier Maillol [archive], publié sur le site de la Mairie de Marly-le-Roi [archive] (consulté le 24 décembre 2017)
  4. a et b [PDF] Plaquette : Le Vieux Marly [archive], page 2/2, publié le 26 juin 2014 sur le site levieuxmarly.fr [archive] (consulté le 24 décembre 2017)
  5. Durant l'année 2015, le chanteur français Hugues Aufray achète et rénove la maison du sculpteur - articles du jdd [archive] et de Gala [archive] (consulté le 24 décembre 2017)
  6. Conférence sur l'atelier de Gaspard Maillol à Marly et le papier Montval [archive], publié le 2 avril 2016 par Éric Forcada, sur le site du vieuxmarly.free.fr [archive] (consulté le 24 décembre 2017)
  7. « Femme se coiffant », 1930, bronze, Paris, musée national d'Art moderne, notice [archive] sur www.centrepompidou.fr.
  8. Dina Vierny et Alain Jaubert, Histoire de ma vie racontée à Alain Jaubert, Paris, Gallimard, coll. « Témoins de l'art », 2009, 52 ill., 256 p., 155 × 225 mm (ISBN 2070782018, présentation en ligne [archive], lire en ligne [archive]) (consulté le 24 décembre 2017)
  9. André Malraux, « Présentation du budget des affaires culturelles » [archive], sur le site de l'Assemblée nationale, 9 novembre 1963 (consulté le 24 décembre 2017)
  10. Historique du Musée Maillol Banyuls [archive] sur museemaillol.com.
  11. Le timbre de 1961 [archive].
  12. Journal L'Indépendant du 29 mars 2009
  13. Mathieu Ferri, « Les œuvres d'Aristide Maillol entrent dans le domaine public », France Bleu Roussillon,‎ 6 janvier 2015 (lire en ligne [archive], consulté le 19 février 2015)
  14. Alexis Kauffmann, « Comment nous avons fait entrer Maillol dans le domaine public », Slate.fr,‎ 4 janvier 2015 (lire en ligne [archive], consulté le 19 février 2015).
  15. Exposée pour la première fois en 1947 à la galerie Dina Vierny, collection de Daniel Carasso ( 1905-2009), vente Piasa lot 101, le 19 mars 2010 à Richelieu Drouot, photographie et article p.144-157 du catalogue de la vente.

Annexes

Bibliographie
  • Maurice Denis, A. Maillol, 1925.
  • Judith Cladel, Maillol. Sa vie, son œuvre, ses idées, Paris, Éditions Bernard Grasset, 1937 (ASIN B001OY1GCW).
  • John Rewald, Maillol, Paris, Éditions Hypérion, 1939, 168 p. (ASIN B00085IXH4).
  • Pierre Camo, Maillol mon ami. Sa vie, son amitié, son art, Lausanne, Éditions du Grand-Chêne, 1950, 88 p. (ASIN B0000DLBXO).
  • Hommage à Aristide Maillol, [catalogue d'exposition], Paris, Musée national d'art moderne, 1961.
  • Waldemar-George, Maillol, Neuchâtel, Éditions Ides et Calendes, 1964.
  • Aristide Maillol, 1861-1944, [catalogue d'exposition], New York, The Solomon R. Guggenheim Museum, 1975.
  • « Maillol. La Méditerranée », Les Dossiers du musée d'Orsay, no  4, Paris, 1986.
  • Bertrand Lorquin, Maillol aux Tuileries, Paris, Éditions Adam Biro, 1991, 79 p. (ISBN 978-2876601369).
  • Dina Vierny et Bertrand Lorquin, Maillol. La passion du bronze, Paris, Fondation Dina Vierny-musée Maillol, 1995, 47 p. (ISBN 9782910826048).
  • Maillol Peintre, [catalogue d'exposition], Paris, Fondation Dina Vierny-musée Maillol, 2001.
  • Aristide Maillol, [catalogue d'exposition], Valence, Institut Valencia d'Art Modern, 2002.
  • Bertrand Lorquin, Aristide Maillol, Genève, Éditions d'Art Albert Skira S.A., 2002, 202 p. (ISBN 978-8884910431).
  • Octave Mirbeau, Aristide Maillol, Société des dilettantes, 1921 disponible [archive] sur Gallica
  • Michaël Paraire (ill. Cécilia Paraire), Rodin & Maillol : Le sublime et le beau, Éditions de l’Épervier, 2017, 87 p. (ISBN 9782361940317).
Liens externes
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